Petit répertoire des sites de protection des milieux naturels au Québec.

Bonjour !









Quoi de mieux pour bien observer la vraie nature dans toute sa beauté que d’explorer des sites qui on été choisis, préservés et aménagés pour permettre à tous et chacun d’y avoir un accès privilégier en toute quiétudes. Voici un petit répertoire des sites de protection des milieux naturels au Québec.
































Les parcs nationaux du Canada sont des aires protégées définies par la loi fédérale afin de préserver le patrimoine naturel canadien. Ils sont administrés par Parcs-Canada, une agence gouvernementale qui fut l’une des premières agences au monde créées pour établir des parcs nationaux au Canada. Cette agence, la division des parcs du dominion, à été créée en 1911. 



Le plan du réseau des parcs nationaux, fut élaboré en 1970, il divise le Canada en 39 régions naturelles et elle fixe comme objectif de représenter chacune des régions ou provinces en y établissant au moins un parc national. Le territoire canadien compte aujourd’hui 48 parcs nationaux et réserves de parcs nationaux dans 30 régions. Au total, les parcs canadien couvrent une superficie de plus de 340 000 km carrés, soit plus de 3% de la masse continentale canadienne. Ils protègent tant des habitats terrestres que marins de grande valeurs, de certaines particularités géographiques et couvre des sites d’importance culturelle. Les parcs nationaux canadien profitent également aux économies locales et à l’industrie du tourisme au Canada. Au Québec, il y a 4 parcs nationaux canadien et il y a un de ces parcs qui est frontalier avec le territoire de Terre-Neuve-et-Labrador. Le réseau des parcs nationaux canadien couvrent une superficie totale de 10 995,31 km².






Voici la liste des sites des parcs nationaux canadien situés au Québec; par municipalité, superficie, région et coordonnées (eBird, GPS utilisables sur Google-Map, DD degrés décimaux).


Parc national Des Monts Torngat, Kangidluasuk (Saglek Bay - municipalité de Nain de Terre-Neuve-et-Labrador) superficie de 9700 km². Le site du parc partage sa frontière Est avec celui du parc national québécois Kuururjuaq (4 460 km2) située relativement près de la municipalité de Kangiqsualujjuaq au Nunavik. 
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Parc fédéral De la Gatineau, municipalité Gatineau, (361,31 km²), région de l’Outaouais.
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Parc national De la Mauricie, municipalité de Shawinigan, (536 km²), région de la Mauricie.
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Parc national De l’Archipel de Mingan, municipalité de Havre-St-Pierre, (150 km²), région de la Côte-Nord
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Parc national Forillon, municipalité de Gaspé, (248 km²), région de la Gaspésie.
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Bonjour !





Les 28 parcs nationaux du Québec sont régis par la SÉPAQ (Société des Établissements de Plein-Air du Québec). Ces parcs d’une superficie totale de 42 865,31 km² ont pour mission la protection et la mise en valeur de milieux naturels représentatifs de l'une ou l'autre des 43 régions naturelles du Québec ou de lieux qui possèdent des caractéristiques naturelles exceptionnelles. Ainsi, les parcs nationaux du Québec sont gérés afin de maintenir l'équilibre entre la conservation des patrimoines naturel et culturel et l'accessibilité au public pour des fins d'éducation ou de récréation. 



Voici une carte qui représente les localisations des parcs nationaux québécois du réseau de la SÉPAQ au nord du 52 parallèle.



Liste des sites des parcs nationaux québécois, par région, municipalité, superficie et coordonnées (eBird, GPS utilisables sur Google-Map, DD - Degrés Décimaux).


Parc national Kuururjuaq, municipalité de Kuururjuaq, Baie-d’Ungava, (4 460,80 km²), région du Nunavik.
58.663737, -64.375877 (DD)

Parc national Pingualuits, municipalité de Kangiqsujuaq, (1 133,90 km²), Baie-d’Ungava, région du Nunavik.
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Parc national d’Ulittaniujalik, municipalité de Kangiqsualujjuaq, Baie-d’Ungava, (5 293 km²), région du Nunavik.
56.973008, -64.922792 (DD)

Parc national Tursujuq, municipalité d’Umiujaq, Baie-d’Hudson, (26 106,7 km²), région du Nunavik.
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Parc national Nibiischii, municipalité de Mistissini, grand lac Mistassini, (16 061,5 km²), région de la Jamésie (Eeyou Istchee).
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Voici une carte qui représente les localisations des parcs nationaux québécois (en rouge *), des réserves fauniques (en bleu *) et autres établissements (en turquoise *) du réseau de la SÉPAQ au sud du 52 parallèle au Québec.



Parc national Aiguebelle, municipalité de Taschereau, (268,3 km²), région de l’Abitibi.
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Parc national Opémican, municipalité de Témiscaming, (252 km²), région du Témiscamingue.
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Parc national De-Plaisance, municipalité de Plaisance, (28,10 km²), région de l’Outaouais.
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Parc national Du Mont Tremblant, municipalité de Tremblant, (1510,1 km²), région des Hautes-Laurentides.
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Parc national d'Oka, municipalité d’Oka, (23,7 km²), région des Basses-Laurentides.
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Parc national Des îles de Boucherville, municipalité de Boucherville, (8,14 km²), région de la Montérégie.
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Parc national Du Mont Saint-Bruno, municipalité de Longueuil, (884 ha), région de la Montérégie.
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Parc national Du Mont Mégantic, municipalité de Notre-Dame-des-Bois, (59,9 km²), région de l’Estrie.
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Parc national Du Mont Orford, municipalité de Magog, (58,37 km²), région de l’Estrie.
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Parc national De la Rivière Yamaska, municipalité de Granby, (13,4 km²), région de l’Estrie.
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Parc national De Frontenac, municipalité de Thetford-Mines, (155,3 km²), région de Chaudière-Appalaches.
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Parc national de la rivière Jacques-Cartier, municipalité de Stoneham-et-Tewkesbury, (670 km²), région de la Capitale-Nationale (Québec).
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Parc national et réserve de biosphère de l’UNESCO, parc Des Grands Jardins, municipalité de Baie-St-Paul, (318,9 km²), région de Charlevoix.
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Parc national et réserve de biosphère de l’UNESCO, parc Des Hautes Gorges de la Rivière Malbaie, municipalité de La-Malbaie, (224,9 km²), région de Charlevoix.
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Parc national du Fjord du Saguenay, municipalité de Rivière-Éternité, (190 km²), région du Fjord-Saguenay.
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Parc national Des Monts Valin, municipalité de Saint-Fulgence, (153,6  km²), région du Fjord-Saguenay.
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Parc national et réserve de biosphère de l’UNESCO, parc maritime du fjord du Saguenay & St-Laurent, municipalités de La-Baie, Des-Escoumins et de Tadoussac, (239,9 km²), région du Fjord-Saguenay.
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Parc national de La pointe Taillon, municipalité d’Alma, (97,5 km²), région du Lac-St-Jean.
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Parc national et site du patrimoine mondial de l'UNESCO, le parc d'Anticosti, municipalité de Port-Menier, (572 km²), région de la Côte-Nord.
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Parc national Du-Bic, municipalité Rimouski, (33,2km²), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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Parc national du Lac Témiscouata, municipalité de Témiscouata-sur-le-Lac, (176,5 km²), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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Parc national et site du patrimoine mondial de l'UNESCO, parc de Miguasha, municipalité de Carleton-sur-Mer, (87,3 ha), région de la Gaspésie.
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Parc national De l’île Bonaventure et Du Rocher Percé, municipalité de Percé, (5,8 km²), région de la Gaspésie.
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Parc national De la Gaspésie, (802 km²), municipalité de Ste-Anne-des-Monts, région de la Gaspésie.  
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En plus des parcs nationaux, le MELCCFP (Ministère québécois de l’Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs) désigne 9983,6 km² de territoires comme étant des « réserves de parc national ». Ces territoires, sont des aires protégées, mais n'ont pas la même protection juridique que celle des parcs nationaux québécois.

Réserve de parc national de Baie Aux-Feuilles, municipalité de Kuujjuaq, Baie-d’Ungava, (3 868,1 km²), région du Nunavik.
58.926014, -69.926944 (DD)

Réserve de parc national d’Iluiliq, municipalité d’Ivujivik, Détroit-D’Hudson, (1 263  km²), région du Nunavik.
62.476982, -77.205540 (DD)

Réserve de parc national d’Assinica, municipalité d’Oujé-Bougoumou, (3 193  km²), région de la Jamésie (Eeyou Istchee).
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Réserve de parc national Des Collines ondulées, municipalité de Schefferville, (1 659,5 km²), région de la Côte-Nord.
55.780677, -67.287794 (DD)


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Bonjour !








Les réserves fauniques sont établis sur les terres publiques du domaine de l’état québécois. Grâce à ses richesses naturelles et à sa biodiversité, ces territoires publics constituent un patrimoine collectif inestimable du Québec depuis plus d’un siècle, dans certains cas. Bien qu’il ne s'agit pas de territoires protégés à proprement parler puisque l'exploitation minière et forestière peuvent y être pratiquées. Toutefois, de telles activités sont l'objet d'un contrôle rigoureux de l'État québécois. Dans les réserves fauniques, c’est le gouvernement qui gère l’utilisation polyvalente et durable des ressources naturelles pour contribuer au développement économique, social et environnemental de la société québécoise.

13 territoires des réserves fauniques sont gérés par la SÉPAQ (Société des Établissements de Plein-Air du Québec), la gestion des ressources naturelles (forêt, mine, pétrole et gaz, énergie hydraulique et éolienne) est aussi sous la gouverne de l’État, soit particulièrement le MELCCFP (Ministère québécois de l’Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs). La SÉPAQ a pour mandat de gérer les activités de prélèvement sportif de la faune (chasse et pêche) et les activités récréatives de pleins-airs. À cet effet, la SÉPAQ n’est donc pas responsable de la planification et de l’exploitation des ressources naturelles sur son territoire. 

Ces réserves fauniques peuvent inclure des terrains privés toutes en respectant certaines règles. Le réseau compte actuellement 19 réserves fauniques : deux réserves le sont par la corporation Nibiischii selon la CBJNQ (Convention de la Baie-James et du Nord québécois), deux réserves le sont par le CGRMP (Corporation de Gestion des Rivières Matapédia et Patapédia), une l’es par la réserve la TERFA (Territoire d'Expériences Récréatives des Forêts Anciennes), une réserve l’es par la société Cascapédia et 13 le sont par la SÉPAQ (Société des Établissements de Plein-Air du Québec). Ils totalisent des territoires de près de 54 374,39 km2 et deux autres types de réserves fauniques s’étendent sur près de 168 km de rivières sont convertis en zones d’exploitation contrôlées (ZEC) pour ce qui est de la pêche en rivière, une activitée qui est réservées strictement à la pratique de la pêche à la mouche au saumon de l’Atlantique. 

Chaque réserve offre des activités et des services favorisant l’exploitation de la faune, notamment celles de la chasse, de la pêche et du piégeage mais aussi celle des activités de pleins-airs. Ils offrent des occasions pour découvrir et explorer ces grands territoires fauniques durant la périodes estivale dans les sentiers de randonnées ou sur les nombreux lacs et rivière en utilisant des chaloupe, canots ou kayaks, ou bien en utilisant des raquettes et des skis de randonnée durant la période hivernale. La période automnale est cependant réserver exclusivement pour les activités de chasse.



Liste des réserves fauniques du Québec :

 Par région, gestionnaires, municipalité, superficie et coordonnées (eBird, GPS utilisables sur Google-Map, DD degrés décimaux).


Réserve faunique d’Assinica, Corporation-Nibiischii, (8 885 km²⁾), municipalité de Chibougamau, région de la Jamésie (Eeyou Istchee).
50.615734, -75.233673 (DD)

Réserve faunique des lacs Albanel-Mistassini et Waconichi, Corporation-Nibiischii, (16 400 km²), municipalité de Chibougamau, région de la Jamésie (Eeyou Istchee).
51.132522, -74.416660 (DD)

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Réserve faunique De-La-Vérendrye, SÉPAQ, (12 589 km²), municipalité de Grand-Remous à Louvicourt, régions de l’Outaouais, du Témiscamingue et de l’Abitibi.
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Réserve faunique Rouge-Matawin, SÉPAQ, (1 388,3 km²), municipalité de L’Ascension, La Macaza, St-Michel-des-Saints, région de la Hautes-Laurentides et du Haut-Lanaudière.
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Réserve faunique Papineau-Labelle, SÉPAQ, (1 628 km² ), municipalités de Nominingue, Duhamel, Notre-Dame-du-Laus, région de l’Outaouais et des Laurentides.
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Réserve faunique De-Mastigouche, SÉPAQ,  (1 556,8 km² ), municipalités de St-Michel-des-Saints, St-Alexis-des-Monts, régions du Haut-Lanaudière et de la Haute-Mauricie.
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Réserve St-Maurice, SÉPAQ,  (782 km² ), municipalité de Trois-Rives, région de la Haute-Mauricie.
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Réserve faunique De-Portneuf, SÉPAQ,  (774 km² ), municipalité de Rivière-à-Pierre, région de la Capital-National.
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Réserve faunique Des-Laurentides, SÉPAQ,  (7 934 km² ), municipalité de Stoneham, Saguenay, Hébertville, régions de la Capital-National, du Fjord- Saguenay et du Lac-St-Jean.
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Réserve faunique d’Ashuapmushuan, SÉPAQ,  (4 488 km² ), municipalité de Saint-Félicien, région du Lac-St-Jean.
48.810734, -72.733411 (DD)

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Réserve faunique de Sept-Îles-Port-Cartier, SÉPAQ, (6 423 km² ), municipalité de Sept-Îles, région de la Côte-Nord.
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Réserve faunique Duchénier, TERFA, (272,86 km² ), municipalité de Rimouski, région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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Réserve faunique De-Rimouski, SÉPAQ,  (729 km² ), municipalité de Rimouski, région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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Réserve faunique De-Matane, SÉPAQ,  (1 274,65 km² ) municipalité de Matane, région de la Gaspésie.
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Réserve faunique Des-Chic-Chocs, SÉPAQ, (1 134 km² ), municipalités de Mont-Saint-Pierre et de Ste-Anne-des-Monts, région de la Gaspésie.
49.101349, -65.706015 (DD)

Réserve faunique De-Port-Daniel, SÉPAQ (62,2 km² ), municipalité de Port-Daniel–Gascons, région de la Gaspésie.
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Réserve faunique Dunière, CGRMP, (565 km² ), municipalité de Causapscal, région de la Gaspésie.
48.628546, -66.755200 (DD)

Réserve faunique de la Rivière Ste-Anne, (70 km de parcours linéaires), Destination-Chic-Chocs, municipalité de Ste-Anne-des-Monts, région de la Gaspésie.
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Réserve faunique de la Rivière-Cascapédia, Société-Cascapédia,  (65 km de parcours linéaires), municipalité de New-Richmond, région de la Gaspésie.
48.667806, -66.205130 (DD)

Réserve faunique des Rivières-Matapédia et Rivière-Patapédia, CGRMP, (70 km et 33 km de parcours linéaires), municipalité de Causapscal, région de la Gaspésie.
48.361072, -67.234157 (DD)


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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]    Bonne année 2025 !

Bonjour !










L'historique du réseau des ZEC au Québec :



C’est le 22 décembre 1977, que le ministre du MLCPQ  (Ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche du Québec), Yves Duhaime  annonce à l’Assemblée Nationale de Québec la fin des clubs privés de chasse et de pêche partout au Québec. L’organisation des ZEC ont pris la relève de l’exploitation des aires fauniques québécoises. Il aura fallu attendre de un à deux ans de plus pour appliquer la même médecine aux gestionnaires des rivières de pêche aux saumon de l’Atlantique. À cette époque, la forêt, lacs et rivières n’était pas accessible à la plupart des québécois. Les territoires giboyeux étaient réservés à une poignée d’américains fortunés, à de riches propriétaires de compagnie, dont les compagnies forestières. Les amateurs de chasse, de pêche  et de pleins-airs avaient raison d’être frustrés, car les plus beaux territoires étaient sous-utilisées, réservés aux fortunés qui payaient des droits de location des terres publiques au gouvernement sous forme de bail, pour une bouchée de pain, et autorisaient l’accès seulement qu’aux membres de leurs clubs privés. À l’origine, plus de 80 % des membres des clubs privés sont des étrangers, la plupart des unilingues anglophones et de rares canadiens-français qui s’y font admettre, et qui pour la majorité d’entre eux, étaient issus de professions libérales, du commerce industriel, du monde financier, en un mot proches des gens proche du pouvoir politique  de l’époque.

À certains endroits, il pouvait y avoir un lac par membre et ces individus protégeaient scrupuleusement leurs territoires pour les interdire à quiconque citoyens de les fréquentés. Les routes d’accès amenant aux territoires fauniques étaient barrées avec des chaînes, et des gardiens de territoire expulsaient sur place quiconque se présentait sur leurs territoires. Les québécois ont commencé à se révolter au début des années 1970. Dans un rappel d’une émission de télévision de «Tout le monde en parlait » de la société Radio-Canada, l’enregistrement du témoignage de l’un des opposants des clubs privés de l’époque, Michel Blouin de la région en Mauricie, raconte comment une quarantaine de manifestants ont été arrêtés en pleine forêt, par une chaleur torride, et entassés dans des fourgons cellulaire « paniers à salade ». Le ministre de l’époque, Yves Duhaime, y raconte dans cette entrevue enregistrée que des régions comme celle de la Mauricie (39 748km²) et celle du Fjord-Saguenay & Lac-St-Jean (95 761 km²) étaient « Clubées mur à mur » par des intérêts privés. C’est le livre du journaliste montréalais Henri Poupart publier à l’époque, intitulé « Le scandale des clubs privés », qui fini par secouer le monde politique et propulser le mouvement de ce qu’on à appelé plus tard « Le Grand Déclubage ». 
 
Les 63 ZEC (Zones d'Exploitation Contrôlées) couvrent une superficie totale de 48 000 km². Ils offrent un accès à la nature dans plusieurs région du Québec. Ce sont des territoires qui ont été créés principalement pour l’exploitation de la faune soit la pratique de chasse, de pêche mais aussi celui du plein-air. Ces territoires sont généralement situées sur les terres publiques (terres du registre du domaine de l'état québécois). Ils sont administrées par des organismes à but non-lucratif et élus démocratiquement. Les gestionnaires des ZEC sont chargées de l'aménagement, du contrôle de l'exploitation de la faune et de faciliter l'accès aux territoires pour les usagers en échange d’un droit d’accès annuel ou journalier. Les règlementations des ZEC sont adoptés par les membres réunis en assemblée générale. Les ZEC sont en quelque sorte des territoires « Du Peuple ». Elles ont été mises en place à la suite d'une demande des Québécois, pour les gens d'ici et qu’ils soient gérés par des communautés locales. Les ZEC sont un modèle unique de gestion démocratique d’une ressource « Commune et Publique » ; la faune. 

Les ZEC génèrent de nombreuses retombés touristiques dans les régions du Québec. Elles ont un chiffre d’affaires annuel de 14 millions de dollars et contribuent au maintien de plus de 600 emplois directs dans les régions du Québec. Les ZEC forment aussi le seul réseau de gestionnaires fauniques à investir la totalité de ses bénéfices d’exploitation dans la conservation et la mise en valeur de la faune. Le réseau des ZEC est gouverné selon une structure horizontale, c’est-à-dire que chaque ZEC ou regroupement régional dispose d’une pleine et entière autonomie dans la gestion de ses opérations. Chaque ZEC constitue une entreprise indépendante. L’organisme ZEC-Québec n’a aucune autorité sur les ZEC. Sont rôle est de conseillé et d’apporté du soutien technique alors que les décisions appartiennent aux gestionnaires de ces ZEC. Aussi, le département du service des territoires fauniques et des habitats du MELCCFP (Ministère québécois de l’Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs) offre de l’aide financière pour la protection des territoires aux ZEC de chasse et de pêche qui ont pour objectif de soutenir l’action des gestionnaires en matière de formation et de perfectionnement ou bien d’activitées de protection par des assistants pour la protection de la faune des territoires fauniques et de leurs habitats dans les ZEC.



Liste des sites des ZEC :

Par région, sites, municipalité, superficie et coordonnées (eBird, GPS utilisables sur Google-Map, DD degrés décimaux).


ZEC Festubert, municipalité de Senneterre, (1255 km²), région du Témiscamingue.
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47.915962, -75.916968 (DD).

ZEC Dumoine, municipalité de Rapides-des-Joachims, (1500 km²), région du Témiscamingue.
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46.467084, -77.935905 (DD).

ZEC Maganasipi, municipalité de Témiscaming, (1012 km²), région du Témiscamingue.
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46.416305, -78.466670 (DD).

ZEC Restigo, municipalité de Témiscaming, (1270,9 km²), région du Témiscamingue.
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46.613573, -78.364148 (DD).

ZEC St-Patrice, municipalité de Rapides-des-Joachims, (1 348 km²), région du Témiscamingue.
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46.216371, -77.317253 (DD).

ZEC Kipawa, municipalité de Béarn, (2397 km²), région du Témiscamingue.
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47.099240, -78.500515 (DD).

ZEC Capitachouane, municipalité de Val-d’Or, (858 km²), région du Témiscamingue.
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47.715941, -76.551484 (DD).

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ZEC Bras-Coupé-Désert, municipalité de Maniwaki, (1205 km²), région de l’Outaouais.
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46.583890, -76.328719 (DD).

ZEC Pontiac, municipalité de Maniwaki, (1205 km²), région de l’Outaouais.
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46.448929, -76.583815 (DD).

ZEC Rapides-des-Joachims, municipalité de Rapides-des-Joachims,  (960,1 km²), région de l’Outaouais.
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46.400619, -77.552732 (DD).

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ZEC Lesueur, municipalité de Ste-Anne-des-Lacs, (776,5  km²), région des Hautes-Laurentides.
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47.233175, -75.414315 (DD).

ZEC De-la-Maison-de-Pierre, municipalité de L’Ascension, (805,1 km²), région des Hautes-Laurentides.
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46.816176, -74.851842 (DD).

ZEC Mitchinamecus, municipalité de Mont-St-Michel, (843,4 km²), région des Hautes-Laurentides.
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47.222370, -75.204169 (DD).

ZEC Mazana, municipalité de Mont-St-Michel, (776,5  km²), région des Hautes-Laurentides.
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47.116251, -74.716327 (DD).

ZEC Normandie, municipalité de Mont-St-Michel, (1018 km²), région des Hautes-Laurentides.
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47.365935, -74.718910 (DD).

ZEC Petawaga, municipalité de Grand-Remous, (14091 km²), région des Hautes-Laurentides.
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47.053108, -75.883798 (DD).

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ZEC Des-Nymphes, municipalité de St-Zénon, (275,1 km²), région du Haut-Lanaudière.
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46.517143, -73.653691 (DD).

ZEC Boullé, municipalité de St-Michel-des-Saints, (638,5 km²), région du Haut-Lanaudière.
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47.019420, -74.322850 (DD).

ZEC Collin, municipalité de St-Michel-des-Saints, (427  km²), région du Haut-Lanaudière.
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46.750647, -74.064438 (DD).

ZEC Lavigne, municipalité de St-Zénon, (406,31 km²), région du Haut-Lanaudière.
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46.415661, -73.866152 (DD).

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ZEC Louise-Gosford, municipalité de St-Augustin-de-Woburn,  (168,4 km²), région de l’Estrie.
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45.432068, -70.699485 (DD).

ZEC De-Saint-Romain, municipalité de St-Romain, (19,70 km²), région de l’Estrie.
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45.711965, -71.101537 (DD).

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ZEC Tawachiche, municipalité de Lac-aux-Sables, (318 km²), région de la Mauricie.
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47.033179, -72.501025 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~

ZEC Wessonneau,  municipalité de La Tuque, (805,30 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.243878, -73.275305 (DD).

ZEC Bessonne, municipalité de La Tuque, (524,5 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.387657, -72.534407 (DD).

ZEC Borgia, municipalité de La Tuque, (556,00 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.821294, -72.565990 (DD).

ZEC Du-Chapeau-de-Paille, municipalité de La Tuque, (1270 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.031765, -73.532341 (DD).

ZEC De-La-Croche, municipalité de La Tuque, (351,8 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.732813, -72.815980 (DD).

ZEC Frémont, municipalité de La Tuque, (601 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.582465, -73.716667 (DD).

ZEC Du-Gros-Brochet, municipalité de La Tuque, (1439,2 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.333218, -73.694420 (DD).

ZEC Jeanotte, municipalité de La Tuque, (324 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.417538, -72.264607 (DD).

ZEC Kiskissink, municipalité de La Tuque, (829,5 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.851325, -72.229900 (DD).

ZEC De-la-Rivière-Blanche, municipalité de La Tuque, (729 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.300529, -72.084685 (DD).

ZEC Ménokéosawin, municipalité de La Tuque, (298,5 km²), région de la Haute-Mauricie.
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47.748788, -72.399657 (DD).

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ZEC Batiscan-Neilson, municipalité de St-Raymond, (878 km²), région de la Capitale-National.
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47.184151, -71.864265 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~

ZEC Lac-Au-Sable, municipalité de Clermont, (370 km²), région de Charlevoix.
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47.865451, -70.250000 (DD).

ZEC Des-Martres, municipalité de St-Urbain, (424 km²), région de Charlevoix.
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47.799393, -70.615436 (DD).

ZEC Buteux-Bas-Saguenay, municipalité de Baie-Sainte-Catherine, (258,7 km²), région de Charlevoix.
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48.056246, -69.922267 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~~

ZEC De-l’Anse-Saint-Jean, municipalité de Saguenay, (194,5  km²), région du Fjord-Saguenay.
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48.118829, -70.250315 (DD).

ZEC Chauvin, municipalité de Saguenay, (619 km²), régions du Fjord-Saguenay.
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48.437145, -70.093468 (DD).

ZEC Du-Lac-Brébeuf, municipalité de Saguenay, (434 km²), régions du Fjord-Saguenay.
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48.099255, -70.549828 (DD).

ZEC Du-lac-De-La-Boiteuse, municipalité de Saguenay, (381 km²), régions du Fjord-Saguenay.
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48.900169, -71.264085 (DD).

ZEC Mars-Moulin, municipalité de Saguenay, (805,1 km²), régions du Fjord-Saguenay.
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48.149256, -71.083512 (DD).

ZEC Martin-Valin, municipalité de St-Fulgence, (1200 km²), régions du Fjord-Saguenay.
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48.666157, -70.617182 (DD).

ZEC Onatchiway, municipalité de St-Davis-de-Falardeau, (1462 km²), régions du Fjord-Saguenay.
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49.084551, -70.812550 (DD).

ZEC Des-Passes, municipalité de St-Ludger-de-Milot, (1491 km²), régions du Fjord-Saguenay.
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49.140349, -71.572335 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~

ZEC De-la-Rivière-Aux-Rats, municipalité de Dolbeau-Mistassini, (1 781 km²), région du Lac-St-Jean.
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49.636340, -72.266563 (DD).

ZEC De-La-Lièvre, municipalité de Roberval, (964 km²), région du Lac-St-Jean.
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48.349373, -72.617013 (DD).

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ZEC Nordique, municipalité Des-Escoumins, (458,3 km²), région de la Haute-Côte-Nord.
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48.517864, -69.870970 (DD).

ZEC D'Iberville, municipalité de Forestville, (438 km²), région de la Haute-Côte-Nord.
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48.599489, -69.500343 (DD).

ZEC De-Forestville, municipalité de Forestville, (1328 km²), région de la Haute-Côte-Nord.
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48.899718, -69.301888 (DD).

ZEC De-Labrieville, municipalité de Baie-Comeau, (1328,00km²), région de la Haute-Côte-Nord.
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49.299384, -69.733158 (DD).

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ZEC Matimek, municipalité de Sept-Îles, (1854 km²), région de la Côte-Nord.
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50.598856, -66.732815 (DD).

ZEC Trinité, municipalité de Baie-Trinité, (320,2 km²), région de la Côte-Nord.
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49.498815, -67.364406 (DD).

ZEC Varin, municipalité de Baie-Comeau, région de la Côte-Nord.
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49.565934, -68.563627 (DD).

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ZEC Jaro, municipalité de St-Théophile, (1439,2 km²), région de Chaudière-Appalaches.
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45.913664, -70.361562 (DD).

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ZEC Du-Bas-Saint-Laurent, municipalité de Rimouski, (1019 km²), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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48.223456, -68.080805 (DD).

ZEC Chapais, municipalité de St-Omer, (338, km²), régions du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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47.198775, -69.681957 (DD).

ZEC Owen, municipalité de Dégelis, (615 km²), régions du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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47.680152, -68.487450 (DD).

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ZEC Casault, municipalité de Causapscal, (838 km²), régions du Bas-du-Fleuve et de la Gaspésie.
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48.299258, -66.883505 (DD).

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ZEC Des-Anses, municipalité de Chandler, (164,4  km²), région de la Gaspésie.
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48.287562, -64.940938 (DD).

ZEC Baillargeon, municipalité de Gaspé, (67,9 km²), région de la Gaspésie.
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48.792697, -64.838203 (DD).

ZEC De-Cap-Chat, municipalité de Cap-Chat, (100 km²) région de la Gaspésie.
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49.055714, -66.670625 (DD).



Deuxième type, les ZEC-Saumons :


C’est un type de zone d’exploitation contrôlée conçue pour la pêche sportive du saumon de l’Atlantique. Les ZEC-Saumons offrent un autre type d’activité en complément à ceux du réseau des territoires fauniques québécois. Ils offrent l’ocassion d’explorer de beau sentier, bien entretenu pour faire des observations près des belles rivières à saumon du Québec.

Le réseau des 21 ZEC-Saumons ont pour but de réglementé les activités de pêche dans les divers territoires de reproduction du saumon Atlantique. Des règlementations très restrictives permettent de préserver une bonne qualité de pêche tout en assurant le renouvellement de la ressource. La pêche du saumon de l’Atlantique au Québec se fait presque exclusivement selon la tradition britannique, soit la pratique de la méthode de la pêche à la mouche seulement. Des quotas de captures sont établis selon le bon bilan de la population de saumon ou selon la bonne température de l’eau des rivières. L’achat d’un droit d’accès journalier par les pêcheurs permet aux gestionnaires de ZEC de financer les activités de pêche. Les pêcheurs doivent s’acquitter d’un droit de pêche annuel provincial, soit l’achat d’un permis spécifique pour la pêche du saumon Atlantique en plus du permis de pêche commun provincial. L’enregistrement des captures sont obligatoire par les pêcheurs ainsi que la pose des tags numérotés sur les captures des saumons prélevés.

Les territoires des ZEC-Saumons couvrent une superficie de 1611 km de rivière au Québec. Les pêcheurs de saumon utilisent les sentiers aménagés tout le long des rives prévues, pour atteindre les divers secteurs de pêche aux fosses de ces rivières.

 Dans tout le territoire du Québec, on compte officiellement 117 rivières pour la pêche au saumon Atlantique. Certaines sont situées en secteur publics  (ZEC, parcs nationaux, réserves fauniques) ou en secteurs privés (pourvoiries). D’autres sont situés en territoires libres (terres du domaine de l’État).



Liste des ZEC-Saumons du Québec, par rivières, municipalité, longueur et région :


ZEC-Saumon de Rivière Mitis, (CGPSRM), municipalité de Ste-Angèle-de-Mérici,(43,9 km), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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ZEC-Saumon de Rivière Rimouski,(APSSRR), municipalité de Rimouski, (18 km), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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ZEC-Saumon de Rivière Matane,(SOGERM), municipalité de Matane, (102 km), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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ZEC-Saumon de Rivière À-Mars, municipalité de La Baie, (44,5 km), région du Fjord-Saguenay.
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ZEC-Saumon de Rivière St-Jean-du-Saguenay, municipalité de L’Anse Saint-Jean, (12,2 km), région du Fjord-Saguenay.
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ZEC-Saumon de Rivière Ste-Marguerite, municipalité de Sacré-Cœur,(184,4 km),  région du Fjord-Saguenay.
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ZEC-Saumon de Rivière Petit-Saguenay, municipalité de Petit-Saguenay, (14 km), région du Fjord-Saguenay.
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ZEC-Saumon de Rivière Laval, municipalité de Forestville, (45,5 km), région de la Haute-Côte-Nord.
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ZEC-Saumon de Rivière Des-Escoumins, municipalité Des-Escoumins, (34 km), région de la Haute-Côte-Nord.
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ZEC-Saumon de Rivière De-la-Trinité, municipalité de Baie-Trinité, (73 km), région de la Côte-Nord.
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ZEC-Saumon des Rivières Godbout et Rivière-Mistassini, municipalité de Godbout, (90 km), région de la Côte-Nord.
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ZEC-Saumon de Rivière Moisie, municipalité de Moisie, (19,10 km), région de la Côte-Nord.
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ZEC-Saumon de Grande-Rivière, municipalité de Grande-Rivière, (23 km), région de la Gaspésie.
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ZEC-Saumon de Petite-Rivière-Cascapédia, municipalité de New Richmond,(127,5 km), région de la Gaspésie.
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ZEC-Saumon de Rivière Bonaventure (199 km), région de la Gaspésie.
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ZEC-Saumon de la Rivière Cap-Chat, municipalité de Cap-Chat, (56,6 km), région de la Gaspésie.
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ZEC-Saumon de Rivière Dartmouth, municipalité de Gaspé, (63,1 km), région de la Gaspésie.
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ZEC-Saumon de Rivière Madeleine, municipalité de Madeleine-Centre,  (115,8 km), région de la Gaspésie.
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ZEC-Saumon de Rivière Nouvelle, (SRGN), municipalité de Nouvelle, (86,2 km), région de la Gaspésie.
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ZEC-Saumon de Rivière York, municipalité de Gaspé, (94,1 km), région de la Gaspésie.
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ZEC-Saumon Pabok, municipalité de Chandler, (165 km), région de la Gaspésie.
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Troisième type, la ZEC-Sauvagine :


La ZEC de chasse à la sauvagine est géré par l’organisme SACOM (Société d’Aménagement et de Conservation des Oiseaux migrateurs de Montmagny), créée dans les années ’80, cette ZEC de Montmagny est une zone d’exploitation contrôlée de la chasse à l’oie et au canard. La SACOMM applique une gestion rigoureuse des droits d’accès journaliers afin d’offrir un environnement sécuritaire. Le territoire occupe une superficie de 8,4 km², elle couvre la totalité des battures de Montmagny entrecoupé par le refuge fédéral des oiseaux migrateurs qui a une superficie de 1,2 km². Au refuge, fédéral la chasse y est naturellement interdite.

Le but de la ZEC de l'Oie-Blanche est directement lié au rôle spécialisée de ce type de ZEC de chasse, soit pour des fins d'aménagement du territoire, du contrôle de l’exploitation mais aussi celui de la conservation des milieux humides, indispensable pour la migration, la reproduction des oiseaux migrateurs, en particulier pour l’espèce de l’oie des-neiges (anser caerulescens), communément appelée oie blanche au Québec. Les oies des neiges viennent se poser aux haltes migratoires de la région de Montmagny dans leurs périples bi-saisonnier de milliers de kilomètres. La population de cette oie était estimée en 2009 à 1 428 000 individus, elle est en forte progression et ça c’est seulement pour la population du couloir migratoire de l’Atlantique. La population Nord-Américaine est estimée à 7 600 000 individus et n'est pas menacée.

Les prélèvements (la chasse) permets d’avoir un meilleur contrôle sur la taille de la population d’oie blanche et ainsi de diminuer leurs dommages occasionnés par leurs passages. C’est un activité qui permet de freiner, d’atténuer les problèmes du sur-broutages excessif aux battures, d’amoindrir la déprédation sur les terres agricoles lors des passages des oies blanches aux périodes de migration. La SACOMM a aménagé des aires de repos aux limites Est et Ouest de la ZEC, offrant aux oiseaux migrateurs une halte migratoire, leur permettant de s’alimenter, de socialisiez et de se reposer en territoire non chassé.

Pendant la période estivale, la ZEC à aménagé un sentier pour l’observation de la nature de l’estuaire magnymontois. Elle accueille les randonneurs dans cette partie de l’estuaire de la région de Chaudière-Appalaches. Le sentier d’environ 5 km est un accès privilégié et gratuit aux abords des champs et battures du fleuve St-Laurent. Ce sentier  est situé près du parc municipal Marcel-Desjardins (3e Avenue Jacques-Lelièvre).

À prévoir. La venue bi-annuelle de dizaines de milliers d'oies blanches attire des milliers de touristes dans tout la région de Montmagny. Les touristes chasseurs tout comme les observateurs des oies blanche et autre migrateurs saisonniers se fait sentir sur l’affluence dans plusieurs établissements touristiques hôteliers, restaurants et boutiques de cette région de Chaudière-Appalaches.

ZEC-Sauvagine De-l’Oie-Blanche, municipalité de Montmagny, (8,4 km), région de Chaudière-Appalaches.
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 https://ebird.org/hotspot/L3083015



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Bonjour !












Les parcs régionaux du Québec sont des territoires naturels exceptionnels spécialement aménagés pour faire de belles excurtions dans la nature. Ils offrent plusieurs activités de pleins-airs pour une multitude d’activités durant les quatre saisons. De la pratique de l’observation ornithologique, à la marche en randonnée pédestre ou en hiver en ski de fond ou en la raquette à neige en passant, en été par le vélo de montagne, en canot, en kayak, ou à la planche à pagaie (SUP) et possiblement même de faire une session de pêche ou d’occupé les plus jeunes à des parcours d’hébertisme pour les actifs. Les parcs régionaux offrent des milieux naturel de qualité, accessible pour tous pour bouger dehors en toute saison dans chaque région du Québec. Plusieurs PaRQ offrent des emplacements de camping quatre saisons, du prêt à camper, de la location de refuge ou de chalet, qui tous situés dans un environnement sauvage et paisible. Au total, c’est plus de 50 activités de pleins-airs qui sont disponible dans les divers PaRQ du Québec.



Voici une liste des sites des parcs régionaux du Québec : 

Par région, municipalité, superficie et coordonnées (eBird)


Parc régional d’Obalski, municipalité de Chibougamau, (22 km²), région de la Jamésie (Eeyou Istchee).
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Parc régional Du Mont Morissette, municipalité de Blue-Sea, (589 ha), région de l’Outaouais.
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Parc régional Du lac Des-31-et-Un-Milles, municipalité de Bouchette, (49,73 km²), région de l’Outaouais.
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Parc régional Du P’tit-Train-du-Nord (parc linéaire 234 km), municipalités de Bois-des-Filion à Mont-Laurier, régions des Basses et Hautes-Laurentides.
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Parc régional Du Boisé de Belle-Rivière, municipalité de Mirabel, (176 ha), région des Basses-Laurentides.
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Parc régional Du Domaine-Vert, municipalité de Mirabel, (600 ha), région des Basses-Laurentides.
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Parc régional De Val-David et Val-Morin, municipalité de Val-David, (5,2 km²), région des Laurentides.
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Parc régional De la rivière Du-Nord, municipalité de St-Jérôme, (4,4 ha), région des Laurentides.
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Parc régional Du lac Poisson-Blanc, municipalité de Notre-Dame-du-Laus, (85 km²), région des Laurentides.
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Parc régional Kiamika, municipalité de Rivière-Rouge, (184 km2), région des Hautes-Laurentides.
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Parc régional De la montagne Du-Diable, municipalité de Ferme-Neuve, (100 km²), région des Hautes-Laurentides.
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Parc régional De la forêt Ouareau, municipalité de Notre-Dame-de-la-Merci, (150 km²), région du Haut-Lanaudière.
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Parc régional De la chute À-Bull, municipalité de Saint-Côme, (1,7 km²), région du Haut-Lanaudière.
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Parc régional Des Sept-Chutes, municipalité de St-Zénon, (17,5  km²), région du Haut-Lanaudière.
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Parc régional Du Lac Taureau, municipalité de Saint-Michel-des-Saints, (228 km²), région du Haut-Lanaudière.
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Parc régional Des chutes Du-Calvaire, municipalité de Mandeville, (1 km²), région du Haut-Lanaudière.
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Parc régional Des chutes Monte-à-Peine et Des-Dalles, (Ste-Béatrix, St-Jean-de-Matha et Ste-Mélanie), (2,7 km²), région de Lanaudière.
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Par régional De la Rivière Batiscan, St-Narcisse, (400 ha), région de la Mauricie.
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Parc régional De St-Bernard, municipalité de St-Bernard-de-Lacolle, (210 ha), région de la Montérégie.
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Parc régional Michel-Chartran, municipalité de Longueuil, (1,85 km²), région de la Montérégie.
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Parc régional Des Îles De-St-Timothée, municipalité de Salaberry-de-Valleyfield, (17,8 ha), région de la Montérégie.
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Parc régional Des Grèves, municipalités de Contrecoeur-Sorel-Tracy, (83 ha), région de la Montérégie.
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Parc régional De Beauharnois-Salaberry, municipalité de Salaberry-de-Valleyfield, (46,79 km²), région de la Montérégie.
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Parc régional Des Sommets, municipalité de Bromont, (30 km²),région de l’Estrie.
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Parc régional Du Marécage Des-Scots, municipalité de Scotstown, (33 km²), région de l’Estrie.
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Parc régional Du Mont Ham, municipalité de Ham-Sud, (9,68 km²), région de l’Estrie.
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Parc régional De-la-Gorge, municipalité de Coaticook, (615 ha), région de l’Estrie.
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Parc régional Des-Grandes-Coulées, municipalité de Plessisville, (15,8 km²), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
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Parc régional De la Rivière Gentilly, municipalité de Bécancour, (70 ha), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
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Parc régional De la forêt Drummond, municipalité de Drummondville, (13,60 km²), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
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Parc régional Du Massif Du-Sud, municipalité de St-Philémon de Bellechasse, (120 km²), région de Chaudière-Appalaches.
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Parc régional Des-Appalaches, municipalité de Ste-Lucie-de-Beauregard, (170 km²), région de Chaudière-Appalaches.
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Parc régional De la Vallée Du-Bras-Nord, municipalité de St-Raymond de Portneuf, (55 km²), région de la Capitale-Nationale.
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Parc régional De-Portneuf, municipalité de St-Alban, (70 km²), région de la Capitale-Nationale.
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Parc régional aventures Du Cap-Jaseux, municipalité de St-Fulgence, (2 km²), région du Fjord-Saguenay.
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Parc régional Des-Grandes-Rivières, municipalité de Dolbeau-Mistassini, (100 km²), région du Lac-St-Jean.
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Parc régional côtier Kiskotuk, municipalité de Rivière-du-Loup, (64 km²), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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Parc régional Du Canyon Des-Portes-de-l’Enfer, municipalité de St-Narcisse-de-Rimouski, (68 ha), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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Parc régional De la Rivière Mitis, municipalité de Mont-Joli, (342 km2), région de la Gaspésie.
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Parc régional De Val-d’Irène, municipalité de Ste-Irène de Matapédia, (1,53 km²), région de la Gaspésie.
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48.471775, -67.572361 (DD).

Parc régional De la rivière Petite-Cascapédia, municipalité de New-Richmond, (8 km²), région de la Gaspésie.
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Parc régional De la Seigneurie du lac Matapédia, municipalité de Mont-Joli, (133 km²), région de la Gaspésie.
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Parc régional Du Mont St-Joseph, municipalité de Carleton-sur-Mer, (4,5 km²), région de la Gaspésie.
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Parc régional De Gros-Cap, municipalité de Cap-aux-Meules, (7,3 ha), région des îles de la Madeleine en Gaspésie.
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Bonjour !









Il y a 57 sites de RNF (Réserves Nationales de la Faune) au Canada, certaines de ces réserves sont situées dans des régions dont les écosystèmes sont relativement intacts malgrés leurs proximitées relatives près des centres urbains. Elles abritent des habitats d’animaux ou de plantes importants au Canada. Les réserves nationales de faune sont gérer par le ministère de l’Environnement et Changement Climatique Canada (ECCC) protègent plus de 3,5 millions d'hectares d'habitat, dont près de la moitié protègent des habitats marins. L’un de ses rôles de ce ministère est protéger la biodiversité, les espèces en péril, les espèces aquatiques, les oiseaux migrateurs, promouvoir la recherche sur la faune et la conservervation du patrimoine faunique canadien. Au Québec, il y a 8 réserves faunique fédérale. Elles sont tous situées près des rives du fleuve St-Laurent.

Selon la Loi sur les espèces sauvages du Canada, les réserves nationales de faune sont créées et gérées pour assurer la conservation, la recherche et l'interprétation des espèces sauvages. L’ECCC applique une approche écosystémique pour la gestion et planification des réserves nationales de faune. Les réserves nationales de faune peuvent uniquement être désignées sur des terres appartenant au gouvernement fédéral. Si les terres n'appartiennent pas au gouvernement fédéral, l’ECCC peut conclure une entente avec le propriétaire sur l'établissement et la gestion conjointes d’une réserve de faune, laquelle ne pourrait pas être désignée en vertu du Règlement. À ce titre, des partenariats peuvent être forgés avec les provinces, des groupes autochtones et des propriétaires de terres privées. 








Réserve faunique fédérale des Îles De-Contrecœur (RNF), fleuve St-Laurent, municipalité de Contrecoeur et de Lavaltrie, (299 ha sur 10 km), régions de la Montérégie et de Lanaudière.
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Réserve faunique fédérale des Îles De-la-Paix (RNF), lac St-Louis (fleuve St-Laurent), municipalités de Beauharnois et Léry, (129 ha), région de la Montérégie.
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Réserve faunique fédérale du Lac St-François (RNF),  municipalité de Dundee, (1 317 ha), région de la Montérégie.
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Réserve faunique fédérale du Cap Tourmente (RNF), fleuve st-Laurent, municipalité de St-Joachim, (2 311 ha), région de la Capitale-Nationale.
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Réserve faunique fédérale des Îles De-l’Estuaire-St-Laurent (RNF), estuaire du golfe St-Laurent, municipalité de St-Alexandre-de-Kamouraska, (404 ha), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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Réserve faunique fédérale de la Pointe Au-Père (RNF), estuaire du golfe St-Laurent,  municipalité de Rimouski, (22 ha), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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Refuges fédéraux d’oiseaux migrateurs de la baie de l’Isle-Verte (RNF), estuaire du golfe St-Laurent, municipalité de Rivière‑du‑Loup, (568,71 ha), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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Réserve faunique fédérale de la Pointe De-l’Est (RNF), golfe St-Laurent, municipalité de Cap-Aux-Meules, (724 ha), région des îles de la Madeleine.
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Bonjour !









Le Canada compte 92 refuges d'oiseaux migrateurs. Ils comprennent presque 115 000 km² d'habitat préservés situés au Canada et 28 refuges sont situés au Québec pour une superficie de 35 879 km2 de superficie. Tous ces sites procurent ainsi à des refuges de transits sécuritaires pour les oiseaux migrateurs en milieux terrestre et marin. L’ECCC (Service Canadien de la Faune d'Environnement Canada) est l'organisme responsable des refuges d'oiseaux migrateurs canadien, bien qu'ils puissent être situés soient sur des terres fédérales, provinciales ou de nature privées. 

Le principal objectif des refuges d'oiseaux migrateurs est la protection des oiseaux migrateurs pour ne pas qu’ils se fasse tuer, blesser ou harceler pendant une partie déterminante de leur cycle de vie, comme la reproduction, la nidification, la mue ou pendant les haltes migratoires et de repos durant les périodes migratoires. Selon la Loi, la chasse y sont interdites dans tout refuge d'oiseaux migrateurs fédéraux, à moins que le ministre de l'ECCC n’ait délivré un permis pour autoriser cette activité en question. 



Voici la liste des sites aux refuges fauniques fédérales situées au Québec

Par municipalité, superficie et région avec liens de localisation eBird et GPS (utilisables sur Google-Map, DD degrés décimaux).


Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de la Baie de Boatswain, municipalité de Waskaganish, (15 465 ha), région de la Jamésie (Eeyou Istchee).
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de l’Île Carillon, municipalité de St-André-d'Argenteuil, (455 ha), région des Basses-Laurentides.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de l’îÎe Aux-Hérons, municipalité de Montréal, (631 ha), région de Montréal.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Senneville , municipalité de Montréal, (555 ha), région de Montréal.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) des Îles De-la-Paix, municipalité de Léry, (1 092 ha), région de la Montérégie.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) des Îles De-la-Couvée, (15 ha), municipalité de Brossard, région de la Montérégie.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) du Mt Saint-Hilaire, (985 ha), région de la Montérégie.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Philipsburg, municipalité de St-Armand, (527 ha), région de la Montérégie.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Nicolet, municipalité de Baie-du-Febvre, (2 937 ha), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Cap St-Ignace, municipalité de Montmagny, (131 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de l'Islet, municipalité de Montmagny, (59 ha), région de Chaudière-Appalaches.
47.131422, -70.369682 (DD).

Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Montmagny, municipalité de Montmagny, (122 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de St-Vallier, municipalité de St-Vallier-de-Bellechasse, (356 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Trois-Saumons, municipalité de St-Jean-Port-Joli, (157 ha), région de  région de Chaudière-Appalaches.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de l’Île Du-Corossol, municipalité de Sept-Îles, (354 ha), région de la Côte-Nord.
50.090704, -66.389752 (DD).

Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Wastishou, municipalité d’Havre-St-Pierre, (1067 ha), région de la Côte-Nord.
50.282350, -62.551372 (DD).

Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Betchouane, municipalité de Havre-Saint-Pierre, (492 ha), région de la Côte-Nord.
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50.211249, -64.126083 (DD).

Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de l’Île À-la-Brume, municipalité de La Romaine, (3 789 ha), région de la Basse-Côte-Nord.
50.170436, -60.503413 (DD).

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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de la Baie Des-Loups, municipalité de La Romaine (Unamen Shipu), (3 610 ha), région de la Basse-Côte-Nord.
50.217719, -60.266482 (DD).

Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Gros-Mécatina (îles Aux-Trois-Collines, Aux-Marmettes, île Plate), municipalité de Gros-Mécatina, (2 168 ha), région de la Basse-Côte-Nord.
(50.838292, -58.730073) (50.713559, -58.889637) et (50.753418, -58.755744) DD.

Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de Saint-Augustin (île De-la-Grande-Passe), municipalité de Bonne-Espérance, (5 369 ha), région de la Basse-Côte-Nord.
51.141216, -58.471462 (DD).

Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) des Îles Ste-Marie, municipalité de Chevery, (3 980 ha), région de la Basse-Côte-Nord.
50.308804, -59.655009 (DD).

Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de la Baie De-Brador (îles Verte et Aux-Perroquets), municipalité de Blanc-Sablon, (567 ha), région de la Basse-Côte-Nord.
51.380925, -57.193498 (DD).

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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de l’îÎe Aux-Basques (îles Razade-d’en-Haut, Razade-d’en-Bas),municipalité de Trois-Pistoles, (840 ha), région du Bas-du-Fleuve.
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(48.142738, -69.248423), (48.179594, -69.158672), (48.204200, -69.136718) DD.

Refuges fédéraux d'oiseaux migrateurs (ROM) de l’Île Verte, municipalité de Rivière-du-Loup, (376 ha), région du Bas-du-Fleuve.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de l’Île Bonaventure et du Rocher-Percé, municipalité de Percé, (1 361 ha),  région de la Gaspésie.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) de St-Omer, municipalité de Carleton-sur-Mer, (56 ha), région de la Gaspésie.
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Refuge fédéral d'oiseaux migrateurs (ROM) des Rochers Aux-Oiseaux, municipalité de Cap-aux-Meules, (648 ha), région des îles de la Madeleine.
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Liens pour les cartes et descriptions des divers refuges d’oiseaux migrateurs canadien :

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Bonjour !










Une réserve écologique, c'est avant tout un territoire conservé à l'état naturel : une île, un marécage, une tourbière, une forêt, un bassin hydrographique. Tous les sites choisis présentent des caractéristiques écologiques distinctives. Dans certains cas, il s'agit d'un milieu où les sols, les dépôts de surface, les végétaux et la faune s'intègrent bien dans un ensemble représentatif des caractéristiques naturelles d'une région. Dans d'autres, le statut de réserve écologique permet de sauvegarder des espèces fauniques ou floristiques rares ou menacées, ou encore des sites exceptionnels. Dans tous les cas, on peut véritablement parler de musées naturels où de la conservation, de la connaissance scientifique et, quand c'est possible, celle ou l'éducation est privilégiée. Les 186 réserves écologiques du Québec occupent au total une superficie de 242,70 km², soit à peu près la superficie du parc national québécois d’Aiguebelle (268,3 m²⁾ en Abitibi.

Certaines réserves écologiques actuelles sauvegardent de façon intégrale et permanente des milieux naturels fragiles ou rares au Québec. La réserve écologique de Pointe-Heath, à l'île d'Anticosti, par exemple, protège une tourbière sur dépôts calcaires en milieu maritime. D'autres, comme la réserve écologique du Pin-Rigide et la réserve écologique Du-Micocoulier, en Montérégie, préservent des plantes et des animaux rares ou uniques au Québec. Plusieurs renferment des milieux représentatifs d'ensembles écologiques et de paysages telles les réserves écologiques du lac Malakisis, au Témiscamingue, De-Tantaré, près de Québec, de l’île Brion, aux Îles-de-la-Madeleine, et de Ristigouche, dans la vallée de la Matapédia. Enfin, une réserve écologique comme celle de la réserve écologique Marcel-Léger à l’île Aux-Sternes, située à l’Est du grand lac St-Pierre, permet de suivre la reconstitution de milieux naturels.

Conserver un territoire dans son état naturel, c'est affirmer la prédominance de ses valeurs biologiques et écologiques sur son potentiel d'exploitation, d'aménagement ou de mise en valeur à des fins économiques. En fait, lorsque nous constituons une réserve écologique, nous prenons une police d'assurance en faveur de notre patrimoine naturel. L'être humain est le principal utilisateur de l'environnement. Très peu de milieux naturels ont échappé à ses diverses interventions : la chasse, la pêche, les loisirs du pleins-airs, l’exploitation agricole, la foresterie, l’exploitation minière, le développement urbain, l’empiétement sur les milieux riverains et aquatiques, l’assèchement de terres humides, etc.

L'accumulation de ces interventions affecte la diversité biologique et écologique du Québec. En effet, des espèces vivantes, des écosystèmes et des processus écologiques disparaissent. À la longue, des problèmes environnementaux importants surgissent : l’érosion des sols, l’appauvrissement de notre diversité faunique, la diminution de la qualité des milieux naturels et la quantité des espaces disponibles pour des activités de plein-air facilement accessible près des grandes zones urbaines. 

Un réseau de réserves écologiques, c'est un rempart contre l'appauvrissement de notre diversité biologique. Chacune d'entre elles devient en effet un échantillon vivant de notre patrimoine naturelle soustrait aux perturbations provoquées par l'activité humaine.


Voici la liste des sites des réserves écologiques du Québec, par région, municipalité, superficie et coordonnées (eBird, GPS utilisables sur Google-Map, DD degrés décimaux).


Réserve écologique Des Vieux Arbres, municipalité de Duparquet, (3,64 ha), région de l’Abitibi.
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48.462955, -79.255694

Réserve écologique Du Lac Chicobi, municipalité d’Amos, (2 123 ha), région de l’Abitibi.
8.846601, -78.571025

Réserve écologique Des Dunes de Berry, municipalité d’Amos, (259,02 ha), région de l’Abitibi.
48.799378, -78.391410

Réserve écologique Des Dunes de la moraine d'Harricana, municipalité d’Amos, (540 ha), région de l’Abitibi.
47.782862, -78.249729

Réserve écologique William-Baldwin, municipalité d’Amos, (291,38 ha), région de l’Abitibi.
48.917323, -78.403207

Réserve écologique Des Kettles de Berry, municipalité de Berry, (267 ha), région de l’Abitibi.
48.847548, -78.395045

Réserve écologique (projetée) Du Ruisseau Clinchamp, Rouyn-Noranda, (2 430 ha), région de l’Abitibi.
47.986295, -79.377224

Réserve écologique Des Caribous de Jourdan, municipalité de Val-d’Or, (712 ha), région de l’Abitibi.
47.793925, -77.894272

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Réserve écologique Du Lac Malakisis, municipalité de Témiscaming, (3 027 ha), région du Témiscamingue.
46.699875, -78.649485

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Réserve écologique De l’Aigle à Tête Blanche, municipalité de Rapides-des-Joachims, (261 ha), région de l’Outaouais.
46.207680, -77.677076

Réserve écologique André-Linteau, municipalité de Rapides-des-Joachims, (91,13 ha), région de l’Outaouais.
46.209903, -77.775531

Réserve écologique James-Little, municipalité de Sheenboro, (211 ha), région de l’Outaouais.
46.188117, -77.612157

Réserve écologique André-Michaux, municipalité de Denholm (450 ha), région de l’Outaouais.
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45.831599, -75.889388

Réserve écologique de la chênaie Des Îles Finlay, municipalité de Waltham, (94 ha), région de l’Outaouais.
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45.903479, -76.879700

Réserve écologique De l’érablière du Trente et Un  Milles, Maniwaki, (606 ha), région de l’Outaouais.
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46.148870, -75.857131

Réserve écologique De la forêt la Blanche, Gatineau, (2 057,52 ha), région de l’Outaouais.
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45.730251, -75.282403

Réserve écologique Louis-Zéphirin-Rousseau (île Ronde), municipalité de Maniwaki, (5,15 ha), région de l’Outaouais.
46.272602, -75.787157

Réserve écologique Du Père Louis-Marie, municipalité de Maniwaki, (315 ha), région de l’Outaouais.
46.216684, -75.834754

Réserve écologique Rolland-Germain, municipalité de Maniwaki, (1366 ha), région de l’Outaouais.
46.661027, -76.081086

Réserve écologique Du Ruisseau De-l'Indien, municipalité de Sheenboro, (324 ha), région de l’Outaouais.
46.123467, -77.474876

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Réserve écologique Jackrabbit, municipalité de Ste-Aggthe-des-Monts, (750 ha), Hautes-Laurentides.
46.006646, -74.474298

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Réserve écologique Tapani, (Île Des-Indiens), municipalité de Sainte-Anne-du-Lac, (17 ha), région des Laurentides.
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46.916836, -75.324464

Réserve écologique De la Rivière Rouge, municipalité de Grenville, (319,83 ha), région des Laurentides.
45.685081, -74.662889

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Réserve écologique De l’île Garth, municipalité de Bois-des-Filion, (17,23 ha), région des Basses-Laurentides.
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45.655531, -73.762441

Réserve écologique De la Presqu’île Robillard, municipalité de St-André-d’Argenteuil, (84 ha), région des Basses-Laurentides.
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45.511893, -74.313723

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Réserve écologique Des Tourbières de Lanoraie, municipalités de Lanoraie et de St-Thomas de Joliette, (414,84 ha), région de la Lanaudière.
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45.995223, -73.296739

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Réserve écologique Des Îles Avelle, Wight et Hiam, municipalité de Vaudreuil-Dorion, (90 ha), région de la Montérégie.
45.400422, -73.993945

Réserve écologique Marcel-Raymond, municipalité d’Henryville, (64,21 ha), région de la Montérégie.
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45.122581, -73.250203

Réserve écologique Du Pin Rigide, municipalité de Saint-Antoine-Abbé, (63,1 ha), région de la Montérégie.
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45.096742, -73.872706

Réserve écologique De la Rivière Aux-Brochets, municipalité de Saint-Armand, (126 ha), région de la Montérégie.
45.071520, -73.094407

Réserve écologique Du boisé Des-Muir, Huntingdon, (11,53 ha), région de la Montérégie.
45.084298, -74.116152

Réserve écologique Du Micocoulier, (îles Arthur et Bienville), municipalité de Valleyfield, (28,73 ha), région de la Montérégie.
45.278625, -74.172863

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Réserve écologique De la Mine Aux-Pipistrelles, municipalité de Potton, (3,24 ha), région de l’Estrie.
45.154148, -72.394449

Réserve écologique Samuel-Brisson, municipalité de Racine, (802,83 ha), région de l’Estrie.
45.487004, -71.132194

Réserve écologique Du Mont Gosford, municipalité de Saint-Augustin-de-Woburn, (306,78 ha), région de l’Estrie.
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45.304534, -70.888339

Réserve écologique De la Vallée Du-Ruiter, municipalité de Sherbrooke, (117 ha), région de l’Estrie.
45.098439, -72.432466

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Réserve écologique Léon-Provancher, (lac St-Paul) municipalité de Bécancour, (472,7 ha), Centre-du-Québec (Bois-Francs).
46.309711, -72.474329

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Réserve écologique Lionel-Cinq-Mars, municipalité de St-Édouard-de-Lobinière, (440 ha), région de Chaudière-Appalaches.
46.512294, -71.772206

Réserve écologique De la Rivière Du-Moulin, municipalité de St-Édouard-de-Lobinière, (10,66 ha), région de Chaudière-Appalaches.
46.641423, -71.892827

Réserve écologique De la Serpentine de Coleraine, municipalité de Thetford-Mines, (396,55 ha),  région de Chaudière-Appalaches.
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45.988789, -71.373848

Réserve écologique De Pointe-Platon, municipalité de Ste-Croix, (59,38 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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46.662559, -71.840465

Réserve écologique Claude-Mélançon, municipalité de St-Philémon, (534,59 ha), région de Chaudière-Appalaches.
46.606295, -70.437687

Réserve écologique Internationale, Thomas-Sterry-Hunt (Maine-Québec), (56,1 ha), municipalité de St-Just-de-Bretenières, région de Chaudière-Appalaches.
46.517798, -70.038095

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Réserve écologique Marie-Jean-Eudes, municipalité de Shawinigan, (832  ha), région de la Mauricie.
46.701095, -73.149469

Réserve écologique Marcel-Léger, (île Aux-Sternes), municipalité de Trois-Rivières, (35,5 ha), région de la Mauricie. 
46.287203, -72.629292

Réserve écologique De lac À-la-Tortue, municipalité de Lac-à-la-Tortue, (565,69 ha), région de la Mauricie.
46.549115, -72.665809

Réserve écologique Irénée-Marie, (lac Arcand), municipalité de Mékinac (MRC), (189,36 ha), région de la Hautes-Mauricie.
6.899003, -73.315702

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Réserve écologique Judith-De Brésoles, municipalité de Lac-Edouard, (1 089,51 ha), région de la Haute-Mauricie.
47.606844, -72.323153

Réserve écologique Du Bog À-Lanières, municipalité de La Tuque, (433 ha), région de la Haute-Mauricie.
47.591700, -72.250230

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Réserve écologique Jules-Carpentier, municipalité de Pont-Rouge, (4,67 ha), région de la Capitale-Nationale (Québec).
46.777602, -71.665661

Réserve écologique De Tantaré, municipalité de St-Gabriel-de-Valcartier, (1450 ha), région de la Capitale-Nationale (Québec).
47.069853, -71.540418

Réserve écologique De la Tourbière De-Shannon, municipalité de Shannon, (168,77 ha), région de la Capitale-Nationale (Québec).
46.899941, -71.539772

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Réserve écologique Des-Grands-Ormes, municipalité de Saint-Aimé-des-Lacs, (920 ha), région de Charlevoix.
47.877360, -70.454197

Réserve écologique Thomas-Fortin, municipalité de Baie-Saint-Paul, (117,86 ha), région de Charlevoix.
47.691494, -71.044803

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Réserve écologique G-Oscar-Villeneuve, municipalité de Ste-Rose-du-Nord, (559 ha), région du Fjord-Saguenay.
48.469652, -70.491758

Réserve écologique Marcelle-Gauvreau, municipalité de Ste-Rose-du-Nord, (116,5 ha), région du Fjord-Saguenay.
48.341039, -70.028465

Réserve écologique Victor-A.-Huard, municipalité de Chicoutimi, (20 ha), région du Fjord-Saguenay.
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48.195805, -71.228453

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Réserve écologique De Couchepaganiche, municipalité de Métabetchouan, (37,99 ha), région du Lac-St-Jean.
48.367657, -71.839919

Réserve écologique J-Clovis-Laflamme, municipalité de Roberval, (1009 ha), région du Lac-St-Jean.
48.343321, -72.562640

Réserve écologique Louis-Ovide-Brunet, municipalité de Lac-Bouchette, (668,57 ha), région du Lac-St-Jean.
48.273325, -72.090777

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Réserve écologique De la Rivière Matamec, municipalité de Sept-Îles, (18 486 ha), région de la Côte-Nord.
50.366631, -65.899692

Réserve écologique Louis-Babel, municipalité de Manicouagan (MRC), (23 540 ha), région de la Côte-Nord.
51.474759, -68.682303

Réserve écologique Du Grand-Lac-Salé, Port-Menier (Anticosti), (2 339 ha), région de la Côte-Nord.
49.334770, -63.322435

Réserve écologique De la Pointe Heath, Port-Menier (Anticosti), (1 869 ha), région de la Côte-Nord.
49.091514, -61.715824

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Réserve écologique Charles-B.-Banville, municipalité de Rimouski, (1 002 ha), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
48.211985, -68.140465

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Réserve écologique De Mont St-Pierre, municipalité de Mt-St-Pierre, (643 ha), région de la Gaspésie.
49.188384, -65.793873

Réserve écologique Fernald, municipalité de Cap-Chat, (708,47 ha), région de la Gaspésie.
48.890048, -66.689207

Réserve écologique De Manche-d'Épée, municipalité de Ste-Anne-des-Monts, (573,24 ha), région de la Gaspésie.
49.217378, -65.446879

Réserve écologique Irène-Fournier, municipalité de Matane, (440 ha), région de la Gaspésie.
48.651927, -66.240278

Réserve écologique De la Grande-Rivière, municipalité de Grande-Rivière, (184 km²), région de la Gaspésie.
48.592846, -64.707403

Réserve écologique Ernest-Lepage, municipalité de New-Richmond, (810 ha), région de la Gaspésie.
48.524943, -65.715637

Réserve écologique De la rivière Ristigouche, municipalité de St-André-de-Ristigouche, (473,37 ha), région de la Gaspésie.
48.033643, -66.889732

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Réserve écologique De l’Île Brion, municipalité de Cap-aux-Meules, (6,5 km²), région des Îles-de-la-Madeleine.
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47.798507, -61.452938


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Bonjour !









Les réserves naturelles privées du Québec on un niveau de statut de protection qui reconnaît la volonté d’un ou des propriétaires de vouer leurs terres à la conservation de la nature. Plus spécifiquement, ce sont des propriétés privées qui possède des caractéristiques écologiques d’intérêts pour la conservation faunique ou floristique, et qui sont légalement reconnue par le MELCCFP (Ministère québécois de l’Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs) au programme de « Conservation volontaire » ou en anglais de « Private Stewardship ».

Les distinctions principales du réseau des réserves écologiques par rapport aux autres types de gestion des réseaux des territoires protégés, aménagés, étudiés, comme par exemples ceux des parcs nationaux, réserves fauniques, parcs régionaux, ZEC, etc, sont axé principalement vers leurs diversités écologiques et leurs valeurs biologiques. Caractérisées par l’absence d'activités d’exploitation à caractère récréotouristique; par la gestion très contrôlée de l'accès à des fins très spécifiques de recherche et des suivis environnementales sur des superficies réduites de ces sites. 

En parallèle de la gestion des réserves naturelles privées par le MECCFP plusieurs organismes (OSBL - Organisation Sans But Lucrative) de conservation de la nature peuvent agir dans le même sens et contribuent à la préservation de ces milieux fauniques, floristiques en territoires privés.

Conservation de la Nature Canada (CNC) est un organisme canadien privé à but non lucratif fondé dédié à la conservation et à la restauration des milieux naturels au Canada. Le premier projet de la CNC au Québec s'est concrétisé en 1978 avec l’acquisition de l'île Aux-Moutons (Varennes), sur le fleuve Saint-Laurent, à l'extrémité Est de Montréal. Ce territoire de 3 hectares se situe plus précisément entre l'île Aux-Asperges (Varennes) et l'imposante île Ste-Thérèse (Varennes). Depuis, nous avons, avec nos partenaires, contribué à la protection de près de 50 000 hectares de terres et de milieux humides de grande valeur écologique. Ainsi, 200 espèces (animales et végétales) en situation précaire disposent désormais d’habitats protégés grâce aux efforts et du soutien de nombreux partenaires. Au Québec, la CNC poursuit sa mission de protection et de gestion du patrimoine naturel, et ce, dans 14 réserves naturelles, certaine publiques et d’autres privées.

Société de Conservation des Milieux Humides du Québec (SCMHQ) est une organisation québécoise sans but lucratif dont la mission vise la protection de la biodiversité des terres humides du Québec. La SCMHQ a protégé à ce jour 571 hectares (5,71 km²) de milieux naturels et constitué un réseau patrimonial de 11 aires protégées pour assurer la sauvegarde de l'habitat de 29 espèces de flore et de faune en péril. Ces réalisations probantes font de la SCMHQ un leader de la conservation au Canada et au Québec.

Capitale-Nature a pour mission d’assurer le maintien et la résilience des milieux naturels, de la biodiversité et des biens et des services écologiques dans les régions de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches, par la conservation, l’acquisition, l’intendance, la mise en valeur, la restauration et l’éducation.

Nature-Avenir est un organisme de bienfaisance, créé en mai 2015, ayant comme mandat d’assurer la conservation des milieux naturels des régions du Centre-du-Québec (Bois-Francs). Leurs territoires d’actions s’étend sur l’ensemble du Centre-du-Québec et déborde quelque peu dans d’autres région comme celle de la Montérégie et ceux du côté de la région de Chaudière-Appalaches. Elles s’étend des rives du fleuve Saint-Laurent jusqu’aux sommets des montagnes de la chaîne des Appalaches.

Éco-Corridors-Laurentiens est un organisme de bienfaisance qui met en œuvre une stratégie de  Laurentides, en étroite collaboration avec les organismes, les institutions et les citoyens. L’objectif premier d’Éco-Corridors-Laurentien est de relier le parc national d’Oka (Basses-Laurentides) au parc national du Mont-Tremblant (Hautes-Laurentides) par un réseau de sentiers, un éco-corridor et d’aires protégées interconnectés traversant une partie du territoire Laurentien situé au nord-ouest de l’agglomération de Montréal.

Corridor-Appalachien est un organisme de conservation à but non lucratif créé en 2002, qui a pour mission de protéger les milieux naturels de la région des Appalaches du sud du Québec. Corridor-Appalachien procure aux collectivités locales les moyens de maintenir et de restaurer un cadre de vie qui respecte l’écologie de la région, dans une perspective de développement durable. Plusieurs grands objectifs ont été définie par Corridor-Appalachien; protéger à perpétué les milieux naturels, acquérir et partager des connaissances sur l’écologie du territoire, mettre en valeur certaines propriétés protégées, soutenir les forces du milieu en matière de conservation, informer et sensibiliser à l’importance du patrimoine naturel, promouvoir la conservation des milieux naturels et influencer l’aménagement du territoire. 

Corridor forestier du mont Saint-Bruno. L’organisme responsable du projet du corridor forestier du mont Saint-Bruno, situé en Montérégie vise à protéger l’intégrité des boisés et des milieux naturels afin de contrer la fragmentation et la disparition des habitats de plusieurs espèces fauniques et floristiques. Le projet a pour objectif de créer une zone tampon autour du parc national du Mont-Saint-Bruno ainsi que de conserver et de rétablir les liens écologiques entre les milieux naturels au sein de ce corridor forestier. L’organisme invite les propriétaires désirant conserver et protéger leurs lots volontairement peuvent compter sur le soutien de l’équipe du Corridor-Forestier, que ce soit pour des rencontres d’information au sujet de contribution écologique par le programme « Conservation volontaire » ou en anglais  de « Private Stewardship » du MELCCFP. 

La Fiducie de Conservation des Écosystèmes de Lanaudière (FiCEL) est un organisme de bienfaisance ; une fiducie d’utilité sociale mise sur pied pour jouer un rôle actif et de premier plan dans la protection des milieux naturels les plus riches de Lanaudière. Elle offre la gestion des réserves naturelles privées de conservation volontaire des milieux naturels. La gestion du patrimoine naturel de la FiCEL est confiée à un groupe de fiduciaires, des personnes issues de différents secteurs du milieu agissant pour le bien collectif régional. La FiCEL a le statut d’organisme de bienfaisance auprès de Revenu-Canada, de Revenu-Québec et est admissible au programme de don écologique d’Environnement-Canada. 

Fondation québécoise pour la protection du patrimoine naturel (FQPPN). Fondée en 1981, la FQPPN (Fondation Québécoise pour la Protection du Patrimoine Naturel) est un organisme à but non lucratif qui a pour mission la protection du patrimoine naturel. Ses principaux axes d’intervention sont la conservation, la restauration et la mise en valeur des milieux naturels d’intérêt, la saine gestion des propriétés faisant l’objet d’une entente légale de conservation, l’accompagnement des collectivités riveraines dans la gestion des rives de l’estuaire d’eau douce et la sensibilisation du grand public. Sa mission est de conserver, protéger, restaurer et mettre en valeur les milieux naturels d’intérêt. Accompagner la collectivité dans la gestion des rives de l’estuaire d’eau douce à saumâtre du St-Laurent. Toutefois, les actions de la FQPPN peuvent s’étendre à l’échelle de toute les régions du Québec. De sensibiliser le grand public à l’importance du patrimoine naturel.  La FQPPN est notamment propriétaire et gestionnaire de la réserve naturelle des battures de St-Augustin-de-Desmaures.

Réseau de Milieux Naturels Protégés (RMNP). Le RMNP est un organisme qui promeus « la conservation volontaire » ce terme est l’équivalent de l’expression américaine « Private Stewardship ». Le RMNP  propose la prise en charge de la conservation du patrimoine naturel sur une terre privée par les gens qui en sont propriétaires et qui l’habitent. Le propriétaire d’un terrain peut décider de le protéger tout en en restant le propriétaire grâce à une servitude de conservation. La servitude de conservation exploite un outil du Code civil à des fins de conservation. Un propriétaire décide de restreindre les usages sur sa propriété (fonds servant) via un acte notarié.

La Fiducie foncière de la vallée Ruiter a été créée en 1987. La fiducie est un organisme de conservation situé à Potton en Estrie. Peu connue du grand public, la fiducie est toutefois reconnue dans le milieu de la conservation, en Estrie et partout au Québec, pour son implication et le rôle historique qu’elle a joué. Dans ce coin du village de Potton, la fiducie avoisine la réserve naturelle Des-Montagnes-Vertes et la réserve écologique de la vallée Du-Ruiter. Ensemble, ces trois territoires forment un espace unique de conservation. La fiducie est vouée d’abord à la conservation, mais offre aussi gratuitement un réseau de sentiers forestiers.

Canards-Illimités-Canada (CIC). Fondée en 1938, la CIC est une organisation nationale privée sans but lucratif qui se consacre à la conservation de l’habitat de la sauvagine depuis plus de 70 ans. Elle a pour vision de créer pour la sauvagine d’Amérique du Nord une mosaïque de milieux humides et d’habitats naturels connexes, restaurés et bien gérés. Canards-Illimités-Canada utilise quatre grandes méthodes pour veiller à la conservation des milieux humides; la conservation et la restauration des habitats des milieux humides de qualité; la recherche scientifique par le biais de son organe de recherche, l’Institut de recherche sur les terres humides et la sauvagine; la promotion de l’élaboration de politiques publiques et par des programmes d’éducation en matière de protection de l’environnement.




Voici la liste de réserves naturelles en milieux privées et semi-privées par superficies, par villes, par région du Québec avec lien eBird ou coordonnées GPS (utilisables sur Google-Map, DD degrés décimaux).


Réserve naturelle Du Marais Kergus, municipalité de La-Motte, (300 ha), région de l’Abitibi.
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Réserve naturelle Du Marais Trépanier, municipalité de Gatineau, (247 ha), région de l’Outaouais.
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Réserve naturelle De l’Alvar-d’Aylmer, municipalité de Gatineau, (42,94 ha), région de l’Outaouais.
45.44194, -75.87083 (DD).      

Réserve naturelle De l’Île Kettle (CNC), municipalité de L’Île-du-Grand-Calumet, (185 ha), région de l’Outaouais.
45.47055, -75.65305 (DD).      

Réserve naturelle Des Milieux Humides Du Lac Litchfield, municipalité de Litchfield, (107 ha), région de l’Outaouais.
45.78056, -76.52399 (DD).     

Réserve naturelle Du Cerf de Virginie de la Gatineau, municipalité de Lac-Sainte-Marie, (52 ha), région de l’Outaouais.
46.0225, -75.97166 (DD).     

Réserve naturelle Du Lac Indian, municipalité de Val-des-Monts, (62,3 ha), région de l’Outaouais.
45.67, -75.81306 (DD).

Réserve naturelle De l'Aigle Royal,  municipalité de Lac-Ste-Marie , (31 ha), région de l’Outaouais.
46.01669, -75.98084 (DD).

Réserve naturelle De la Tortue Serpentine, municipalité de Lac-Ste-Marie , (3,76 ha), région de l’Outaouais.
46.02057, -75.99446 (DD).

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Réserve naturelle William-R.-J.-Oliver, municipalité de Ste-Agathe-des-Monts, (62 ha), région des Hautes-Laurentides.
46.083263, -74.298276 (DD).

Réserve naturelle Du Lac Du-Brochet, municipalité de Ste-Agathe-des-Monts, (71 ha), région des Hautes-Laurentides.
45.955483, -74.544170 (DD).

Réserve naturelle Du Lac Brûlé, municipalité de Ste-Agathe-des-Monts, (549 ha), région des Hautes-Laurentides.
46.104058, -74.264194 (DD).

Réserve naturelle De la Rivière Rouge, municipalité de Rivière-Rouge (L’Annonciation), (319,83 ha), Hautes-Laurentides.
46.472980, -74.876945 (DD).

Réserve naturelle De la Rivière Du-Diable, municipalité de Tremblant, (73,8 ha), région des Hautes-Laurentides.
46.193027, -74.594690 (DD).

Réserve naturelle Des Pays d'en Haut, Ste-Adèle, (20,75 ha), région des Hautes-Laurentides.
45.941307, -74.151041 (DD).

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Réserve naturelle Claudia-Duchâteau, municipalité de Chute-Saint-Philippe, (102,5 ha), région des Hautes-Laurentides.
46.665563, -75.276620 (DD).

Réserve naturelle Alfred-Kelly (CNC), municipalités (Piedmont-Prévost-St-Hippolyte), (460 ha), région des Laurentides.
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Réserve naturelle North-River-Farm, municipalité de Mirabel, (199 ha), région des Laurentides.
45.67805, -74.2125 (DD).      

Réserve naturelle De la Montagne Rouge, municipalité d’Harrington, (146,5 ha), région des Laurentides.
45.932242, -74.624699 (DD).

Réserve naturelle Des-Racines, municipalité de St-Hippolyte, (81,2 ha), région des Laurentides.
45.918364, -73.939790 (DD).

Réserve naturelle Du Parc Des-Falaises, municipalité de St-Hippolyte, (38 ha), région des Laurentides.
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Réserve naturelle Du Lac Notre-Dame, municipalité de Wentworth-Nord, (212,60 ha),  région des Laurentides.
45.854969, -74.382745 (DD).

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Réserve naturelle De la Forêt Du-Grand-Coteau, municipalité de Lorraine, (12,3 ha), région des Basses-Laurentides.
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Réserve naturelle public Du Boisé Roger-Lemoine, municipalité de Deux-Montagnes, (8,14 ha), région des Basses-Laurentides.
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Réserve naturelle De la Vallée de la Rivière Noire, municipalité de Ste-Émélie-de-l'Énergie, (137,3 ha), région du Haut-Lanaudière.
46.37003, -73.69086 (DD).

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Réserve naturelle Du Ruisseau De-Feu, municipalité de Terrebonne, (3,75 ha), région de Lanaudière.
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Réserve naturelle Beauréal, Ste-Julienne, (162 ha), région de Lanaudière.
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Réserve naturelle Bu Boisé Des-Terres-Noires, municipalité de L’Assomption, (37,4 ha), région de Lanaudière.
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Réserve naturelle De l’Archipel Du-Mitan, municipalité de Laval, (68 ha), région de Laval (Île Jésus).
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Réserve naturelle Du Boisé Papineau, municipalité de Laval, (15 ha), région de Laval (Île Jésus).
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Réserve naturelle De l’Île Bonfoin (CNC) , municipalité de Montréal, (14 ha), région de Montréal.
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Réserve naturelle De la Forêt De-Senneville (CNC), municipalité de Senneville, (17 ha), région de Montréal.
45.43194, -73.96694 (DD).      

Réserve naturelle Des Rapides De-Lachine, municipalité de Montréal, (50,98 ha),  région de Montréal.
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Réserve naturelle Du Père Louis-Trempe, municipalité de Westmount, (1 ha), région de Montréal.
 45.490024, -73.616825 (DD).

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Réserve naturelle De la Rivière Bleury, St-Paul-de-l’Île-Aux-Noix, (17 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle De la Pointe Fontaine, municipalité de Venise-en-Québec, (0,025 ha) région de la Montérégie.
45.06083, -73.16833 (DD).      

Réserve naturelle De la Tourbière De-Venise-Ouest, municipalité de Venise-en-Québec, (121,5 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Milarepa, municipalité de Frelighsburg, (20,1 ha), région de la Montérégie.
45.060965, -72.715525 (DD).

Réserve naturelle Walbridge, municipalité de Notre-Dame-de-Stanbridge, (0,2 ha), région de la Montérégie.
45.152971, -72.988524 (DD).

Réserve naturelle William-Godfrey-le-Maistre, municipalité de Dunham, (0,36 ha), région de la Montérégie.
45.148223, -72.845211 (DD).

Réserve naturelle De la Coulée Des-Érables, municipalité de Saint-Mathieu-de-Belœil, (0,05 ha), région de la Montérégie.
45.61666, -73.27277 (DD).      

Réserve naturelle De l’Abbaye Cistercienne de Rougemont, municipalité de Rougemont, (49,4 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Mont Rougemont, municipalité de Rougemont, (180 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Mont St-Bruno, municipalité de Ste-Julie, (20 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Namasté, municipalité de Ste-Julie, (10,9 ha), région de la Montérégie.
 45.62972, -73.33083 (DD).     

Réserve naturelle Du Mont St-Grégoire, municipalité de Mont-St-Grégoire, (34 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Mont Yamaska, municipalité de Saint-Paul-d'Abbotsford, (10,4 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Gault, municipalité de Mont-St-Hilaire, (1000 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle De l’Île Beauregard (CNC), Varennes, (52 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Boisé Du-Tremblay, municipalité de Longueuil  (267 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle De l’Île De-Grâce (CNC), municipalité de Sorel-Tracy, (330 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Boisé Des-Blouin, municipalité de Saint-Barnabé-Sud, (9 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Boisé Des-Douze, municipalité de Sainte-Hyacinthe, (4 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Ruisseau Robert, municipalité de Carignan, (100 ha), région de la Montérégie.
45.44528, -73.35416 (DD).      

Réserve naturelle De l’Île De-Jeannotte, St-Charles-sur-le-Richelieu, (11,7 ha), région de la Montérégie.
45.649860, -73.200960 (DD).

Réserve naturelle Du Boisé Des-Patriotes, municipalité de Saint-Denis-sur-Richelieu, (272 ha),région de la Montérégie.
45.72805, -73.07889 (DD).      

Réserve naturelle Du Boisé de Brossard, municipalité de Brossard, (230 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Boisé Tailhandier, municipalité de St-Bruno-de-Montarville, (7,3 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle De l’Académie Des-Sacrés-Cœurs, municipalité de St-Bruno-de-Montarville, (13,7 ha), région de la Montérégie.

Réserve naturelle De l’îÎet Du-Moulin-à-Vent, municipalité de Contrecoeur, (2,3 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle De la Montagne De-Rigaud, municipalité de Rigaud, (110 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Chemin St-Georges (CNC), municipalité de Rigaud, (10,7 ha), région de la Montérégie.
45.455, -74.29417 (DD).      

Réserve naturelle Du Marécage Des-Chenaux-de-Vaudreuil, municipalité de Vaudreuil-Dorion, (16,8 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du Petit-Canal, municipalité de Salaberry-de-Valleyfield, (16 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle De la baie Des-Brises, municipalité de Saint-Stanislas-de-Kostka, (30 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle De la Coulée À-Biron, municipalité Les-Cèdres, (1,4 ha), région de la Montérégie.
45.30917, -74.06972 (DD).      

Réserve naturelle Du Coteau de la Rivière La-Guerre, municipalité de St-Anicet, (111 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du-Rocher, municipalité d’Ormstown, (226 ha), région de la Montérégie.
45.102089, -73.911407 (DD).

Réserve naturelle De l'Ozance, municipalité de St-Alexandre, (48,24 ha), région de la Montérégie.
45.2253, -73.12139 (DD).

Réserve écologique Marcel-Raymond, municipalité d’Henryville, (64,21 ha), région de la Montérégie.
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45.123072, -73.251948 (DD).

Réserve naturelle De la Rivière Du-Sud (SCMHQ), municipalité d’Henryville, (66 ha), région de la Montérégie.
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Réserve naturelle Du lac Montjoie, municipalité de Saint-Denis-de-Brompton, (14 ha), région de l’Estrie.
45.39444, -72.09194 (DD).      

Réserve naturelle Alton-E.Peck, municipalité de Saint-Denis-de-Brompton, (100 ha), région de l’Estrie.
45.445777, -72.095274 (DD).  

Réserve naturelle Amala, municipalité de Sutton, (15 ha), région de l’Estrie.
45.112632, -72.691029 (DD).

Réserve naturelle De La-Falaise, municipalité de Sutton, (3 ha), région de l’Estrie.
45.12889, -72.50361 (DD).      

Réserve naturelle Thomas-Weldon, municipalité de Sutton, (4 ha), région de l’Estrie.
45.059440, -72.604720 (DD).

Réserve naturelle Zuyderland, municipalité de Sutton, (18 ha),région de l’Estrie.
45.10667, -72.68389 (DD).      

Réserve naturelle Charles-Gale, municipalité de Sutton, (1 ha), région de l’Estrie.
45.09306, -72.61639 (DD).      

Réserve naturelle Du-Héron-Bleu et de ses Amis, municipalité de Sutton, (6 ha), région de l’Estrie.
45.041985, -72.536694 (DD).

Réserve naturelle John-Withall, municipalité de Sutton, (23,7 ha), région de l’Estrie.
45.0575, -72.60694 (DD).      

Réserve naturelle Du Ruisseau Chevalier, municipalité de Bromont, (4 ha), région de l’Estrie.
45.30972, -72.61389 (DD).      

Réserve naturelle Du lac Gale, municipalité de Bromont, (4 ha), région de l’Estrie.
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Réserve naturelle Du boisé De-Brossard, municipalité de Bromont, (230 ha), région de l’Estrie.
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Réserve naturelle Du parc scientifique Bromont, municipalité de Bromont, (206 ha), région de l’Estrie.
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45.30305, -72.73917 (DD).

Réserve naturelle Annemarie-Zeiss-Kunerth, municipalité de Lac-Brome, (21 ha), région de l’Estrie.
45.26917, -72.55194 (DD).      

Réserve naturelle Brecht, municipalité de Lac-Brome, (1 ha), région de l’Estrie.
45.21139, -72.55583 (DD).     

Réserve naturelle Colby, municipalité de Lac-Brome, (2 ha), région de l’Estrie.
45.22194, -72.52083 (DD).     

Réserve naturelle Hank-Rotherham, municipalité de Lac-Brome, (43 ha), région de l’Estrie.
45.27861, -72.55 (DD).      

Réserve naturelle Deborah-Stairs, municipalité de Lac-Brome, (11 ha), région de l’Estrie.
45.20139, -72.55167 (DD).     

Réserve naturelle Frances-MacKeen, municipalité de Lac-Brome, (2 ha), région de l’Estrie.
45.21778, -72.50333 (DD).      

Réserve naturelle Des-Gaudreau-de-Scottsmore, municipalité de Lac-Brome, (4 ha), région de l’Estrie.
45.18083, -72.6825 (DD).      

Réserve naturelle Quilliams-Durrull, municipalité de Lac-Brome, (81 ha), région de l’Estrie.
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Réserve naturelle De Mansville, municipalité de Lac-Brome, (2,86 ha), région de l’Estrie.
45.16417, -72.60946 (DD).

Réserve naturelle Du Boisé Fisher-Woods, municipalité de Lac-Brome, (32 ha), région de l’Estrie.
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Réserve naturelle De la Paruline à Ailes Dorées, municipalité de Lac-Brome, (32 ha), région de l’Estrie.
45.23019, -72.64763 (DD).

Réserve naturelle Du Canton de Shefford (CENS), municipalité de Shefford, (145 ha), région de l’Estrie.
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Réserve naturelle Barbara-Burrowes-Buchanan, municipalité de Bolton-Ouest, (7 ha), région de l’Estrie.
45.23361, -72.45472  (DD).

Réserve naturelle Du Mont Foster, municipalité de Bolton-Ouest, (4,7 ha), région de l’Estrie.
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Réserve naturelle Du Boisé Fisher-Woods, municipalité de Bolton-Ouest, (32,37 ha), région de l’Estrie.
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Réserve naturelle David-Schwartz, municipalité de Bolton-Ouest, (46 ha), région de l’Estrie.
45.22916, -72.42611 (DD).      

Réserve naturelle De l’Annedda, municipalité d’Ulverton, (15 ha), région de l’Estrie.
45.73361, -72.225 (DD).      

Réserve naturelle De l’Île-Longue, municipalité de Stanstead, (11,3 ha), région de l’Estrie.
45.06611, -72.26861 (DD).     

Réserve naturelle De La-Serpentine, municipalité de St-Joseph-de-Coleraine, (9,76 ha), région de l’Estrie.
45.973719, -71.369687 (DD).

Réserve naturelle Des-Collines, municipalité de Bolton-Est, (62 ha), région de l’Estrie.
45.22611, -72.42416 (DD).      

Réserve naturelle Patrick-Deehy, municipalité de Bolton-Est, (6,77 ha), région de l’Estrie.
45.24722, -72.30556 (DD).      

Réserve naturelle De Stone-Ledge-Farm, municipalité de Stukely-Sud, (4,74 ha), région de l’Estrie.
45.319455, -72.456191 (DD).

Réserve naturelle De Wild-Wood, municipalité de Potton, (5,96 ha), région de l’Estrie.
45.14972, -72.37917 (DD).      

Réserve naturelle Du Mont Éléphant, municipalité de Potton, (250 ha), région de l’Estrie.
45.13667, -72.31139 (DD).      

Réserve naturelle Tyre-Macfarlane, municipalité de Potton, (12,17 ha), région de l’Estrie.
45.14, -72.36972 (DD).      

Réserve naturelle Des-Montagnes-Vertes (CNC), municipalité de Potton, (6767 ha), région de l’Estrie.
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Réserve naturelle Du-Hameau, municipalité de Ste-Catherine-de-Hatley, (2,6 ha),région de l’Estrie.
45.25167, -72.03278 (DD).      

Réserve naturelle Du Marais De-Katevale, municipalité de de Ste-Catherine-de-Hatley, (50 ha), région de l’Estrie.
45.26111, -72.06389 (DD).      

Réserve naturelle Du Marais du Lac Mégantic, municipalité de Piopolis, (86 ha), région de l’Estrie.
45.44758, -70.87586 (DD).      

Réserve naturelle Du Ruisseau Tompkin, municipalité d’Ogden, (50 ha), région de l’Estrie.
45.04639, -72.21584 (DD).      

Réserve naturelle Madakik, municipalité de Melbourne, (6,8 ha), région de l’Estrie.
45.62667, -72.11667 (DD).      

Réserve naturelle Du Lac Brousseau, municipalité de Stukely-Sud, (1,68 ha), région de l’Estrie.
45.33056, -72.43169 (DD).

Réserve naturelle Madeleine-Gingras-Potvin, municipalité d’Orford, (114,78 ha), région de l’Estrie.
45.62667, -72.11667 (DD).      

Réserve naturelle Du Lac Bran-de-Scie, municipalité d’Orford, (13 ha), région de l’Estrie.
45.41333, -72.20028 (DD).      

Réserve naturelle Thomas-Boyd-Stanger, municipalité de Magog, (2,35 ha), région de l’Estrie.
45.21278, -72.18111 (DD).

Réserve naturelle De la Colline Aux-Adrets, municipalité d’Eastman, (47,07 ha), région de l’Estrie.
45.30613, -72.32973 (DD).

Réserve naturelle Du Ruisseau Gulf, municipalité de Racine, (27,8 ha), région de l’Estrie.
45.48583, -72.18027 (DD). 

Réserve naturelle Du Lac Brais, municipalité de Racine, (116 ha), région de l’Estrie.
45.47417, -72.20028 (DD).

Réserve naturelle De la Tourbière De-Millington, municipalité d’Austin, (42,73 ha), région de l’Estrie.
45.22393, -72.26566 (DD).

Réserve naturelle De la Tourbière (SCMHQ), de St-Joachim-de-Shefford, (20 ha), région de l’Estrie.
45.424035, -72.489582 (DD).

Réserve naturelle De la Rivière Stoke (SCMHQ), municipalité de Dudswell, (1 ha), région de l’Estrie.

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Réserve naturelle Du Boisé Des Sœurs de L’Assomption, municipalité de Nicolet, (1,9 ha), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
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Réserve naturelle Du Boisé Du-Séminaire, secteurde la rue Du-Carmel, municipalité de Nicolet, (5 ha), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
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Réserve naturelle Du Boisé Du-Séminaire, secteur St-Joseph, municipalité de Nicolet, (5 ha), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
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Réserve naturelle De la Grande Tourbière De-Villeroy, municipalité de Villeroy, (2167 ha), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
46.37472, -71.85028 (DD).      

Réserve naturelle Du Patrimoine Des-Hébert, municipalité de Saint-Célestin, (3 ha), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
46.19361, -72.42778 (DD).

Réserve naturelle Du Boisé De la Marconi, municipalité de Drummondville (59,76 ha), région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
45.84751, -72.47028 (DD).

Réserve naturelle de l'Étang Du-Castor-Errant, municipalité de Ham-Nord, (5,86 ha), région du centre du Québec (Bois-Francs).
45.87917, -71.615 (DD).

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Réserve naturelle de L’Anse-Ross, municipalité de Lévis, (12 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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Réserve naturelle De la Rivière Cumberland, municipalité de St-Simon-les-Mines, (79,2 ha), région de Chaudière-Appalaches.
46.185583, -70.645183 (DD).

Réserve naturelle De la Rivière À-la-Loutre, municipalité de Saint-Fabien-de-Panet, (40,73 ha), région de Chaudière-Appalaches.
46.66308, -70.08947 (DD).

Réserve naturelle Du Boisé Barré-de-Villieu, municipalité de Lévis, (0,67 ha), région de Chaudière-Appalaches.
46.72222, -71.3325 (DD).      

Réserve naturelle Du Lac Breeches, municipalité de Saint-Jacques-le-Majeur-de-Wolfestown, (420,25 ha), région de Chaudière-Appalaches.
45.90889, -71.48083 (DD).      

Réserve naturelle Du Lac Du-Portage (CNC), municipalité Saint-Théophile, (2271 ha), région de Chaudière-Appalaches.
45.9275, -70.28111 (DD).    

Réserve naturelle Du Méandre de la Rivière Vincelotte (CNC), municipalité de Cap-Saint-Ignace, (1,78 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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Réserve naturelle Du Petit-Domaine-Walden, municipalité de St-George, (3 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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Réserve naturelle Du Polatouche-de-Villieu, municipalité de Lévis, (0,39 ha), région de Chaudière-Appalaches.
46.72222, -71.3325 (DD).      

Réserve naturelle Du Pont À-Chevilles, municipalité d’Irlande, (63 ha), région de Chaudière-Appalaches.
46.05222, -71.47722 (DD).

Réserve naturelle Des Îles Aux-Basques et Des-Razades, municipalité de Trois-Pistoles, (91 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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Réserve naturelle Jean-Paul-Riopelle (CNC), municipalité de l'Isle-aux-Grues, (48 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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Réserve naturelle De Pointe-Platon, municipalité de Ste-Croix-de-Lotbinière (SCMHQ), (7 ha), région de Chaudière-Appalaches.
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46.662319, -71.838858 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Réserve naturelle De la Tortue-des-Bois de la rivière Shawinigan, municipalité de Saint-Mathieu-du-Parc, (290 ha), région de la Mauricie.
46.641610, -72.945858 (DD).

Réserve naturelle Du Lac Vandal, municipalité de Saint-Mathieu-du-Parc, (1,82 ha), région de la Mauricie.
46.604510, -72.913420 (DD).

Réserve naturelle Du-Portageur, municipalité de Saint-Édouard-de-Maskinongé, (9,77 ha), région de la Mauricie.
46.335898, -73.177643 (DD).

Réserve naturelle De la Tourbière du lac À-la-Tortue, municipalité de Shawinigan, (1569 ha), région de la Mauricie.
46.545052, -72.618749 (DD).

Réserve naturelle Carmen-Lavoie, municipalité de Maskinongé, (3 ha), région de la Mauricie.
46.582905, -72.941886 (DD).

Réserve naturelle De-l’Envol, municipalité de Grandes-Piles, (14,6 ha), région de la Mauricie.
46.713744, -72.747516 (DD).

Réserve naturelle Des-Pointes, municipalité de Yamachiche, (25 ha), région de la Mauricie.
46.294369, -73.090643 (DD).

Réserve naturelle Sûre-la-Montagne, municipalité d’Hérouxville, (12,82 ha), région de la Mauricie.
46.712310, -72.660998 (DD).

Réserve naturelle De la Rivière Batiscan (SCMHQ), municipalité de Ste-Geneviève-de-Batiscan, (21 ha), région de la Mauricie.
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Réserve naturelle De l’Estuaire de la Rivière Ste-Anne, (SCMHQ), municipalité de Ste-Anne-de-la-Pérade (95 ha), région de la Mauricie.
46.547745, -72.206192 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~

Réserve naturelle De l’Échappée-Belle, municipalité de Québec, (1,30 ha), région de la Capitale-Nationale.
46.860166, -71.415803 (DD).

Réserve naturelle Des Marais Du-Nord, municipalités de Stoneham-et-Tewkesbury, (64 ha), région de la Capitale-Nationale.
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Réserve naturelle De la pointe De-la-Croix, municipalité de St-François-de-l'Île-d'Orléans, (12,10 ha), région de la Capitale-Nationale.
47.023080, -70.835810 (DD).

Réserve naturelle De la station agronomique de l’Université-Laval, municipalité de Saint-Augustin-de-Desmaures, (14 ha), région de la Capitale-Nationale.
46.720685, -71.499830 (DD).

Réserve naturelle Des battures de St-Augustin-de-Desmaures (CIC), municipalité de Saint-Augustin-de-Desmaures, (400 ha), région de la Capitale-Nationale.
46.727206, -71.457570 (DD).

Réserve naturelle Du Lac Clair-de-Perthuis, municipalité de Ste-Christine-d'Auvergne, (50,9 ha), région de la Capitale-Nationale.
46.828056, -72.088363 (DD).

Réserve naturelle Du Marais Léon-Provancher, municipalité de Portneuf, (125 ha), région de la Capitale-Nationale.
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Réserve naturelle Du Sault-à-la-Puce, municipalité de Château-Richer, (10,16 ha), région de la Capitale-Nationale.
46.992086, -70.979336 (DD).

Réserve naturelle De la Tourbière de Chute-À-Panet,(SCMHQ), municipalité de St-Raymond, (58 ha), région de la Capital-National.
46.870623, -71.838228 (DD).

Réserve naturelle De la Pointe De-la-Croix, (SCMHQ), municipalité de St-François-de-l'Île-d'Orléans (10 ha), région de la Capital-National.
47.02305 -70.83611 (DD).
~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Réserve naturelle De la Rivière Des-Vases, municipalité de Baie-St-Paul, (27,67 ha), région de Charlevoix.
47.424258, -70.500840 (DD).

Réserve naturelle Du boisé De-l'Équerre, municipalité de Baie-St-Paul, (2 ha), région de Charlevoix.
47.440246, -70.528851 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~

Réserve naturelle publique des Monts-et-Merveilles, municipalité de Saguenay (Chicoutimi), (3,4 ha), région du Fjord-Saguenay.
48.440807, -71.033028 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~

Réserve naturelle Du Lac Des-Elfes, municipalité de Saint-David-de-Falardeau, (2,4 ha), région du Lac-St-Jean.
48.643691, -71.092778 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Réserve naturelle De la Plaine Checkley, municipalité de Sept-Îles, (344 ha), région de la Côte-Nord.
50.193082, -66.568536 (DD).

Réserve naturelle Du Boisé de la Pointe St-Gilles, municipalité de Baie-Comeau, (10 ha), région de la Côte-Nord.
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~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Réserve naturelle De la Baie Des-Mille-Vaches, municipalité de Longue-Rive, (23 ha), région de la Haute-Côte-Nord.
48.585063, -69.194740 (DD).

Réserve Naturelle Du Parc Languedoc, municipalité de Tadoussac, (100 ha), région de la Haute-Côte-Nord.
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Réserve naturelle De La Richardière de l'Île Verte,  municipalité de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, (7,69 ha), région du Bas-du-fleuve.
48.01584, -69.45306 (DD).

Réserve naturelle De la Rivière Fouquette, municipalité de St-André-de-Kamouraska (5,4 ha), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
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47.70333, -69.70055 (DD).

Réserve naturelle De l’Île Aux-Pommes, municipalité de l’Isle-Verte, (23,53 ha), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
48.10639, -69.32195 (DD).

Réserve naturelle De la Neigette, municipalité de St-Narcisse-de-Rimouski, (80 ha), région du Bas-du-Fleuve St-Laurent.
48.20417, -68.45834 (DD).

~~~~~~~~~~~~~~~~~

Réserve naturelle de l’estuaire De la Petite-Rivière-Cascapédia, municipalité de New-Richmond, (136,65 ha), région de la Gaspésie.
48.164332, -65.843011 (DD).

Réserve naturelle De l’Estuaire de la Rivière York, municipalité de Gaspé, (9,09 ha), région de la Gaspésie.
48.830320, -64.584929 (DD).

Réserve naturelle De la Rivière Malbaie (CNC), municipalité de Barachois-Ouest, (412 ha), région de la Gaspésie.
48.611620, -64.340326 (DD).

Réserve naturelle Des Îles de la Rivière Dartmouth, municipalité de Gaspé, (24 ha), région de la Gaspésie.
48.887298, -64.575964 (DD).

Réserve naturelle De la falaise (SCMHQ), municipalité de Mont-St-Pierre, (48 ha), région de la Gaspésie.
49.225698, -65.785771 (DD).
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Réserve naturelle De l’Estuaire de la baie Au-Chêne,(SCMHQ), municipalité de Pointe-à-la-Croix, (128 ha), région de la Gaspésie.
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48.036331, -66.711988 (DD).

Réserve naturelle De l’Estuaire du Barachois de la Rivière Nouvelle (SCMHQ),  municipalité de Nouvelle, (86 ha), région de la Gaspésie.
48.097094, -66.270745 (DD).

Réserve naturelle de l’Estuaire du Barachois de Petite-Rivière-Cascapédia (SCMHQ), municipalité de New Richmond, (12 ha), région de la Gaspésie.
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48.166238, -65.841685 (DD).

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Réserve naturelle Des-Demoiselles, municipalité de Havre-Aubert, (14,09 ha), région des Îles-de-la-Madeleine. 
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Les 11 refuges fauniques publics et privés du Québec couvrent un total de 23,2 km². Ils représentent des aires importants de protection qui préserves l’intégrité des espaces naturels, essentiels pour protéger la faune et la flore menacés ou vulnérables. Ils sont reconnu à l’échelle municipale ou provinciale pour leurs productivités, leurs densités et leurs diversités fauniques qu’ils renferment ainsi que pour le support de protection qu’ils représentent.

En milieu privé, le MELCCFP (Ministère québécois de l’Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs) peut, en vertu de dispositions de la Loi sur la Conservation et la mise en valeur de la faune (article 123), être autoriser à émettre le statut de « refuge faunique » pour protéger et reconnaître l’exceptionnelle particularité faunique sur un terrain privé. Dans les refuges fauniques, c’est le gouvernement détermine par règlementation, les conditions d’utilisation d’accessibilité particulière et de séjour pour chacun de ces refuges fauniques. Actuellement, il en existe neuf refuges publiques et 2 privés au Québec.



Voici la liste des refuges fauniques publics et semi-privés québécois par municipalité, superficie, par région et coordonnées (eBird, GPS utilisables sur Google-Map, DD degrés décimaux).


Refuge faunique public De Deux-Montagnes, municipalité de Deux-Montagnes, (5,113 ha), région des Basses-Laurentides.
45.545692, -73.916320 (DD).

Refuge faunique public De la Rivière Des-Mille-Îles, (26,2 ha) municipalités (Laval - Rosemère - Boisbriand - Bois-des-Filions - Terrebonne), régions de Laval, des Basses-Laurentides et Lanaudière.
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Refuge faunique public De La-Grande-Île, municipalité de Berthierville, (145 ha), région de Lanaudière.
46.124641, -73.024118 (DD).

Refuge faunique public Pierre-Étienne-Fortin, municipalité de Chambly, (63,12 ha), région de la Montérégie.
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Refuge faunique privé Marguerite-D’Youville, municipalité de Châteauguay, (223,5 ha), Montérégie.
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Refuge faunique public De Pointe-du-Lac, municipalité de Trois-Rivières, (261 ha), région de la Mauricie.
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Refuge faunique public De l’îlet Aux-Alouettes, baie Ste-Catherine, (0,32 ha), région de Charlevoix.
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Refuge faunique public Des Battures de St-Fulgence, municipalité de St-Fulgence, (209,3 ha), région du Fjord-Saguenay.
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Refuge faunique public De l’Île Laval, municipalité de Forestville, (31,5 ha), région de la Haute-Côte-Nord.
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Refuge faunique privé Du Barachois De-Carleton, municipalité de Carleton, (10,9 ha) région de la Gaspésie.
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Refuge faunique public De la Pointe De-l’Est, (1290 ha), région des Îles-de-la-Madeleine.
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Bonjour !









Les 8 sites des établissements touristiques de pleins-airs sont régies par la SÉPAQ (Société des Établissements de Plein-Air du Québec). La SÉPAQ gère les 10 centres touristiques au Québec compris avec le site de l’aquarium Du-Québec. Les établissements touristiques de pleins-airs ont la mission de préserver et mettre en valeur certaines richesses patrimoniales et équipements touristiques qui leur sont confiés par le gouvernement québécois. Cette mission requiert une gestion s'inscrivant dans les principes de développement durable en tenant compte de la qualité de l'environnement. De nombreuses activités de pleins-airs, d’éducation et de découverte en compagnie de guides qualifiés ainsi qu'un vaste choix d'hébergement de tous types y sont offerts. Ils couvrent au total une superficie de 472,47 km² répartis dans 5 régions du Québec.



Liste des établissements touristique de pleins-airs du Québec par région, municipalité, superficie et coordonnées (eBird, GPS utilisables sur Google-Map, DD degrés décimaux).

Établissement touristique du site Du Lac Simon (24 km²), municipalité de Duhamel, région de l’Outaouais.
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Établissement touristique du site Du Parc Des-Voltigeurs  (1,16 km²), municipalité de Drummondville, région du Centre-du-Québec (Bois-Francs).
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Établissement touristique du site De la Station Touristique Duchesnay (89 km²), municipalité de Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, région de la Capitale-Nationale.
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Établissement touristique du site De l’Aquarium du Québec (0,2 km²), municipalité de Québec, région de la Capitale-Nationale.
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Établissement touristique du site Du Parc de la Chute Montmorency (1,1 km²), municipalité de Québec, région de la Capitale-Nationale.
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Établissement touristique du site Du Camp Mercier, réserve faunique des Laurentides (45 km²), municipalité de Québec, région de la Capitale-Nationale.
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Établissement touristique du site Du Lac Kénogami (5 km²), municipalité de Saguenay, région du Lac-St-Jean.
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Établissement touristique du site Du Village Historique de Val-Jalbert (8 km²), municipalité de Chambord, région du Lac St-Jean,
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Établissement touristique du site De l’Auberge des Chic‑Chocs (60 km²), municipalité de Matane, région de la Gaspésie.
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Établissement touristique du site Du Gîte du Mont-Albert (239 km²), parc national de la Gaspésie, municipalité de Ste-Anne-des-Monts, région de la Gaspésie.
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Bonjour !







Au Québec, il existe plus d’une quarantaine de désignations possibles d’aires protégées, dont plusieurs sont partager par Québec et Ottawa. Au Québec, c’est la Loi sur la conservation du patrimoine naturel (RLRQ, chapitre C-61.01) et de la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables (RLRQ, chapitre E-12.01), adoptée en 1989 ces aires protégées sont sous la gestion du MELCCFP (Ministère québécois de l’Environnement et de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs) et les secteurs d’aires marines protégées sont sous la gestion d’Environnement et Changement Climatique Canada (ECCC).


Les aires protégée de forêts anciennes (Québec).

Cette expression désigne des peuplements dans lesquels on trouve de très vieux arbres et qui ont été peu modifiés par l’homme et les perturbations naturelles. Ces EFE (Écosystème forestier exceptionnel) sont des forêts qui ont comme particularité de renfermer à la fois des arbres vivants, sénescents et morts et un sol parsemé de gros troncs à divers stades de décomposition. On dénombre peu de forêts anciennes au Québec. Dans le sud de la province, la plupart des forêts ont en effet été considérablement affectées par la colonisation, puis par l’urbanisation. Plus au nord, ce sont les épidémies d’insectes et les feux qui les ont raréfiées. 

Dans une région de l’Abitibi les scientifiques ont découvert une espèce de petit thuya d'à peine deux mètres et demi de haut est vraisemblablement le plus vieil arbre connu du Québec. Il a au moins 913 ans, et peut-être 1 000 ans. Il est né en plein moyen-âge, avant la première croisade. Situé sur le lac Duparquet juste au nord de la municipalité de Rouyn-Noranda. Ce lac est au centre d'une étude des douze forêts d'enseignement et de recherche du Québec. Ce lac reconnu pour ses îles de vieux arbres. Sur ces îles et ces berges, on a trouvé 38 thuyas de plus de 500 ans. Trois îles, dont celle de l’aire protégée Du-Cèdre-Millénaire, ont été déclarées réserves de forêt ancienne et aires de réserves écologiques. Il faut donc une permission spéciale pour y accoster.
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Les aires protégée de forêts rares (Québec).

Les EFE (Écosystème forestier exceptionnel) sont des forêts rares sont des écosystèmes forestiers qui occupent un nombre restreint de sites et couvrent une superficie réduite. La rareté est généralement d’origine naturelle, mais elle peut aussi résulter de l’activité humaine : on dit alors qu’elle est anthropique. La rareté est évaluée autant à l’échelle du Québec qu’à l’échelle d’unités de territoire plus petites. Par exemple, les peuplements de pins rigides (pinus rigida) sont rares dans tout le Québec, alors que ceux de chênes rouges (quercus rubra) sont communs dans le sud-ouest de la province, mais rares dans la péninsule gaspésienne.
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Les aires protégée de forêts refuges (Québec).

Ce type de EFE (Écosystème forestier exceptionnel) sont des forêts qui abritent une ou plusieurs espèces végétales menacées ou vulnérables (y compris les espèces susceptibles d’être ainsi désignées). On peut y trouver, selon le cas, une espèce d’une grande rareté, au moins trois espèces menacées ou vulnérables ou encore une population remarquable d’une espèce menacée ou vulnérable.
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Les aires protégée d’habitats d'espèces floristiques menacée ou vulnérables (Québec).

C’est une aire protégée d’un habitat floristique qui abrite au moins une espèce floristique désignée menacée ou vulnérable et qui est identifié à l'article 7 du Règlement sur les espèces floristiques menacées ou vulnérables et leurs habitats. À ce jour, 52 habitats floristiques ont été créés.
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Les aires protégées de sites de concentration d'oiseaux aquatiques (Québec).

Une aire de site de concentration d’oiseaux aquatiques se définit comme un site constitué d’un marais, d’une zone inondable dont les limites correspondent au niveau atteint par les plus hautes eaux selon une moyenne établie par une récurrence de 2 ans, d’une zone intertidale, d’un herbier aquatique ou d’une bande d’eau d’au plus 1 km de largeur à partir de la ligne des basses eaux, totalisant au moins 25 ha, caractérisé par le fait qu’il est fréquenté par des oies, des bernaches ou des canards lors des périodes de nidification ou de migration et où l’on en dénombre au moins 50 par kilomètre mesuré selon le tracé d’une ligne droite reliant les 2 points du rivage les plus éloignés ou 1,5 par hectare; lorsque les limites de la zone inondable ne peuvent être ainsi établies, celles-ci correspondent à la limite du littoral.
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Les aire protégées de sites de confinement (ravages) du cerf de Virginie (Québec).

Le cerf de Virginie (odocoileus virginianus) est une espèce faunique dont les populations peuvent varier en densité et en nombre d’une année à l’autre et selon les régions. La grande majorité des cerfs se rassemblent dans des aires d’hivernage communément appelées «ravages». Un ravage est un habitat qui procure aux cerfs un couvert, sous forme d’essences résineuses, et de la nourriture, sous forme de ramilles. Ces aires sont caractérisée par le fait que les cerfs de Virginie s’y regroupent pendant la période où l’épaisseur de la couche nivale dépasse 40 cm dans la partie de territoire située au sud du fleuve Saint-Laurent et à l’ouest de la rivière Chaudière (sud-ouest de la ville de Lévis) ou quelle dépasse les 50 cm ailleurs. Les aires de confinement du cerf de Virginie ont une superficie superficie boisée de 250 ha ou plus situées en terres publiques, elles font partie des habitats fauniques protégés. 
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Les aires protégées d’habitat des sites de colonie d'oiseaux situées en falaise (Québec).

Les aires protégés aux sites des falaises de l’habitat de colonie d’oiseau sont des territoires marins ou la géographie particulière offre des sites de reproduction et de repos situées sur les flancs de falaise et qui à leurs sommets ont une profondeur de 100 mètres ou plus d’où l'on dénombre au moins dix nids d'oiseaux marins par 100 mètres de front.
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Les aires protégées d’habitat faunique des colonies d'oiseaux situées sur des îles où sur des presqu'îles (Québec).

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Les aires protégées d’habitat d'espèces fauniques menacée ou vulnérables (Québec).
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Les aires protégées d’habitat faunique du rat musqué (Québec).

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Les aires protégées d’habitat faunique de nidification aux sites d’héronnières (Québec).

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Les aires protégées d’habitat faunique des sites de vasières (Québec).

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Les aires protégées du parc maritime du Fjord-Saguenay-St-Laurent (Québec-Ottawa).

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Les aires protégées de réserve maritime RTFAP (Québec-Ottawa).

Les réserves maritime des territoires d’aire protégée au Québec compte 16 zones marines. Le statut de réserve maritime vise la protection d’un milieu composé principalement des milieux d’eaux salées ou saumâtres en raison de l’intérêt de ses caractéristiques biophysiques et dans le but d’assurer la représentativité de la biodiversité marine quelles occupent. Sept secteurs ont été désignés comme RTFAP (Réserves de Territoires aux Fins d’Aire Protégée) dans l’estuaire du Saint-Laurent. Ils représentent une superficie de 5 033 km². Le choix de ces secteurs a été fait pour protéger des espèces de mammifères marins en situation précaire, ainsi que leurs habitats, celui des poissons en situation précaire, ainsi que leurs habitats et les espèces fourragères, qui sont des proies des mammifères marins, ainsi que leurs habitats. 

Secteur de l’Isle-aux-Grues : Il s’agit d’une zone de productivité biologique importante où l’on trouve des poissons en situation précaire tels que le bar rayé, l’esturgeon jaune (acipenser fulvescens), l’esturgeon noir (acipenser oxyrhynchus) et l’éperlan arc-en-ciel. Elle occupe une superficie de 914 km². 

Secteur du centre de l’Estuaire (Rivière-Du-Loup) : Ce secteur, d’une superficie de 1 743 km², correspond à l’habitat estival des femelles et des jeunes bélugas situé à l’extérieur du parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Il est également important pour la reproduction et la croissance de plusieurs espèces dont se nourrit le béluga, comme le capelan et le hareng atlantique.

 Secteur de Kamouraska : Ce secteur de 357 km² est une zone d’importance pour la reproduction et la croissance de certaines proies du béluga (delphinapterus leucas), comme le capelan, le hareng atlantique et l’éperlan arc-en-ciel (osmerus mordax). Il comprend également un habitat d’importance pour le bar rayé (morone saxatilis).

 Secteur Des-Basques (Trois-Pistoles) : Ce secteur de 133 km² comprend des zones d’importance pour la reproduction et la croissance du capelan et du hareng atlantique. 

Secteur de la Haute-Côte-Nord : Il s’agit d’une zone d’alimentation de 1 569 km² pour les rorquals, puisqu’on y trouve une concentration de krill (meganyctiphanes norvegica) et d’espèces dont se nourrit le rorqual commun (balaenoptera physalus), comme le capelan (mallotus villosus), le hareng atlantique (clupea harengus) et le lançon d’Amérique (ammodytes americanus). 

Secteur de Matane & Les-Méchins : Ce secteur de 316 km² est étudié car il est une zone d’alimentation du rorqual bleu (balaenoptera musculus). 

Le secteur de la réserve marine de l’Estuaire-de-la-Rivière-Bonaventure couvre une superficie de 1,8 km² et s’étend sur l’estuaire formé à l’embouchure de la rivière Bonaventure. L’estuaire de la rivière Bonaventure comprend l’un des dix barachois estuariens du Québec. Un barachois est un lagon côtier partiellement ou totalement séparé de l'océan par un banc de sable ou de galets. De grands herbiers d’algues filamenteuses, particulièrement la laitue de mer ou officiellement appelée l’entéromorphe intestinal (ulva intestinalis), une espèce très tolérante aux variations de la salinité de l’eau, sont observés dans le secteur. De plus, des espèces comme le saumon atlantique (salmo salar) et l’éperlan arc-en-ciel se reproduisent dans la rivière Bonaventure et utilisent l’estuaire lors de leurs migrations vers la mer où elles grandissent. Enfin, le chenal séparant les îles Arsenault et Des-Prés est un secteur très prisé par certains oiseaux aquatiques durant les périodes de migration. Les espèces les plus abondantes sont la bernache du Canada (branta canadensis) , le canard noir (anas rubripes), le canard colvert (anas platyrhynchos) et la sarcelle à ailes vertes (anas carolinensis).


Les secteurs d’aires protégées de réserve maritime situées dans le golfe St-Laurent (Ottawa) :

Le secteur Du Banc Parent : Cette zone de 530 km² comporte une forte concentration d’éponges (porifera spp). Certaines espèces de ce groupe créent des structures qui fournissent un habitat diversifié à de nombreuses espèces marines.

 Le secteur au Détroit d’Honguedo-Ouest (Anticosti-Gaspésie) : Ce secteur de 496 km² est à l’étude pour sa forte concentration de trois espèces de plumes de mer, soit (pennatula aculeata, pennatula grandis et Anthoptilum grandiflorum).

Le secteur du Détroit d’Honguedo-Est (Anticosti-Gaspésie) : Cette zone de 2 338 km² abrite de fortes concentrations d’éponges et de quatre espèces de plumes de mer, soit (halipteris finmarchica, anthoptilum grandiflorum, pennatula grandis et pennatula aculeata). 

Le secteur des détroit De Jacques-Cartier (Anticosti-Côte-Nord): C’est dans de ce secteur que se trouve la plus forte concentration d’éponges, en comparaison avec toutes les zones de conservation de coraux et d’éponges établies dans l’estuaire et dans le golfe du Saint-Laurent. La superficie visée est de 346 km².

Le Banc De-Bennett : Une forte concentration de la plume de mer (anthoptilum grandiflorum) se trouve dans cette zone d’une superficie de 821 km². 

Le secteur Anticosti Sud-Est : D’une superficie de 845 km², ce secteur est doté d’une forte concentration d’éponges. 

Le secteur Anticosti Est : Ce secteur de 939 km² est reconnu pour sa forte concentration d’éponges. 

Le secteur Du Banc Beaugé : D’une superficie de 215 km², c’est une zone de forte concentration d’éponges. 

Le secteur De Golfe-Centre  : C’est dans cette zone de 1 284 km² qu’on trouve la plus forte concentration connue de la plume de mer (anthoptilum grandiflorum) dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent. 

Le secteur Du Talus du Plateau Madelinien : Une très forte concentration des plumes de mer (pennatula grandis et anthoptilum grandiflorum) se trouve dans ce secteur de 335 km².
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Les aires protégées de réserve aquatique marin projetées (Québec-Ottawa).

L’aire de Réserve Projetée de Manicouagan se situe sur la rive nord de l’estuaire maritime du St-Laurent. Elle comprend le littoral bordant les municipalités de Ragueneau, Chûte-aux-Outardes, Pointe-aux-Outardes et de Pointe-Lebel. Elle touche également au territoire de la réserve autochtone Innue de Pessamit, ainsi qu’au territoire de la municipalité de Colombier. Elle couvre une superficie d’environ 712 km². Ce secteur comprend une grande diversité de poissons et d’invertébrés, dont le crabe des neiges (chionoecetes opilio), la crevette nordique (pandalus borealis) et le flétan du Groenland (reinhardtius hippoglossoides) Le capelan (mallotus villosus), l’éperlan (osmerus eperlanus) et le hareng atlantique (clupea harengus) sont quelques-unes des espèces qui frayent à cet endroit. Elles constituent une part importante des ressources alimentaires de plusieurs oiseaux, poissons et mammifères marins, comme les baleines (cetacés sp.) et les phoques (phocidés sp.), qui fréquentent le secteur.
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Les aires protégées d’habitat de milieu naturel de conservation volontaire (Québec).

Les aires de milieu naturel de conservation volontaire (Private Stewarship) est une approche qui permet au propriétaire de s'engager envers la préservation du patrimoine naturel de sa propriété par une approche non gouvernementale. Il s'agit d'une approche communautaire de la conservation. Les organismes de conservation (land trust) sont des organisations non gouvernementales à but non lucratif dont la mission est la conservation de la nature. Ces organismes ont été mis sur pied, partout au Québec, au Canada et dans le monde, par des citoyens qui prennent l’initiative de préserver les éléments naturels qui leur tiennent à cœur. Ainsi, les organismes de conservation assistent les propriétaires qui veulent s’assurer que leur terre soit protégée pour les générations à venir, ils concilient conservation et utilisation du territoire, ils protègent et mettent en valeur leurs propriétés par des activités extensives et éducatives, ils favorisent une approche intégrée de l’aménagement du territoire.

En terre privée, cette approche est la plus prometteuse pour garantir la préservation de la biodiversité. Les dons, servitudes de conservation ou acquisitions à des fins de conservation assurent la conservation des sites à perpétuité et procure certains avantages fiscaux pour le propriétaire foncier qui s'y engagent. Au Québec, le réseau de milieux naturels protégés regroupe des propriétaires et des gestionnaires qui œuvrent à la conservation du patrimoine naturel à travers le Québec. Il joue un rôle unique pour consolider un réseau de partenaires et encourager le partage du savoir-faire en conservation ainsi que favoriser la préservation de la nature par la conservation volontaire en terres privées.
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Les aires protégées canadienne de la commission de la capitale nationale (Ottawa).

C’est la société immobilière CCN (Commission de la Capitale Nationale) qui assure l'administration d’un nombre important de terres et de propriétés appartenant à l'état fédéral canadien dans la région de la capital national incluant celles situées dans les villes d’Ottawa et celle de Gatineau. Elle s’occupe notamment de l'administration de l’aire protégée du parc de la Gatineau. Surnommé le poumon vert de l’Outaouais, ce parc fédéral s’étend sur plus de 361 kilomètres carrés et abrite une biodiversité riche et unique. C’est le deuxième parc le plus visité au Canada, il permet aux amateurs de pleins-airs de la région d’Ottawa et celle de l’Outaouais de pratiquer des activités récréatives dans un environnement respectueux de la nature.
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Les aires protégées des parcs et réserves nationales fédérales (Ottawa).

Le gouvernement canadien gère 37 parcs nationaux et 10 réserves de parc nationaux qui représentent 31 de ses 39 régions naturelles terrestres. Les territoires de ces aires protégée protègent environ 336 343 kilomètres carrés. Ce sont des lieux sauvages, que l’on retrouve dans l’ensemble des provinces et territoires canadien, qui vont des montagnes aux plaines, en passant par les forêts boréales à la toundra arctique, aux milliers de lacs et centaines de rivières, de glaciers, et bien plus encore. Parcs-Canada est responsable de la protection de ces zones et de leur gestion pour que les visiteurs puissent les comprendre, les apprécier et en profiter d’une manière qui ne compromet pas leur intégrité écologique.

En plus des parcs nationaux, des réserves de parc national ont été établis sur divers territoires canadien. Ce sont des aires protégées qui sont gérées comme un parc national, mais qui font l’objet d’une ou de plusieurs revendications territoriales autochtones. Ces revendications territoriales sont négociées entre les gouvernements fédéral et autochtone. Les peuples autochtones des premières nations continuent d’utiliser les terres pour y pratiquer la chasse, la pêche et le piégeage traditionnels. La loi sur les parcs nationaux du Canada s’applique à la réserve de parc national et confère les mêmes protections que celles des parcs nationaux. Le règlement des revendications territoriales est l’occasion de fixer les limites et les conditions d’établissement, et les réserves de parc nationaux ne peuvent être placée sous le coup de la loi sur les parcs nationaux canadien à titre de parc national.

Au Québec, il y a 2 aires protégées de parcs nationaux et une aire protégée de réserve de parc national. Le parc national De Forillon est situé en Gaspésie, créé en 1970, d’une superficie de 244,8 km² et le parc national De-la-Mauricie créé en 1977 avec une superficie de 536 km². L’aire protégée de réserve du parc national De l’Archipel de Mingan, a été créée en 1984 et elle a une superficie de 150 km². Cette réserve de parc national  a été établis dans la région de la Côte-Nord du golfe St-Laurent, aux îles du détroit de Jacques-Cartier, au nord du large de l’île Anticosti.
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Les aires protégées des parcs nationaux (Québec).

Les parcs nationaux du Québec sont des aires protégées créées par le Québec dans le but de protéger des territoires représentatifs des régions naturelles de la province ou des sites à caractère exceptionnel tout en les rendant accessibles au public pour des fins d'éducation ou de récréations extensives. En date de janvier 2022, la province compte vingt-huit parcs nationaux qui protègent une superficie de 42 765,57 km², soit environ 2,6 % du territoire québécois. Ils sont pour la plupart administrés par la SÉPAQ (Société des Établissements de Plein-Air du Québec) à l'exception de quatre parcs administrés par l’organisme autochtone Inuit ARK (Administration régionale Kativik) au Nunavik et d'un parc fédéral canadien administrés conjointement par Parcs-Canada et la SÉPAQ.
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Les aires protégées de site aux refuges biologiques désignés (Québec).

Les refuges biologiques sont de petites aires protégées forestières d’environ 2 km² créées au bénéfice des espèces fauniques ou floristiques qui s’y trouvent. Leur gestion est sous la responsabilité du MELCCFP (Ministère québécois de l'Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs). Les activités d’aménagement forestier sont interdites sur le territoire d’un refuge biologique, à moins d’exception. Il existe actuellement 3 704 refuges biologiques au Québec, répartis de façon relativement uniforme dans l’ensemble des forêts aménagées du domaine de l’État. Les refuges biologiques peuvent être désignés en vertu de la Loi sur l'aménagement durable du territoire forestier (LADTF, chapitre A-18.1) ou en projet avant la désignation légale.

Les refuges biologiques désignés légalement constituent la grande majorité. Ils sont soustraits aux activités industrielles, ce qui permet leur inscription au Registre des aires protégées (RAP) du Québec tenu par le MELCCFP. Toute activité d’aménagement forestier dont la finalité est la production forestière ligneuse ou non ligneuse, y compris les activités comportant des traitements non commerciaux comme l’acériculture et la récolte de l’if du Canada (taxus canadensis),; la récolte de matière ligneuse à des fins commerciales, y compris la récupération après une perturbation naturelle; toute activité d’aménagement forestier dont la finalité est l’exploration ou l’exploitation minière ou énergétique (hydrocarbures, gazière ou autre); toute activité d’aménagement forestier dont la finalité est la production d’énergie (hydroélectrique, éolienne ou autre), le transport ou la distribution d’énergie; la construction de nouvelles infrastructures (chemins, sentiers pour engins motorisés, chalets, etc.); la délivrance d’un nouveau bail d’exploitation de sable et de gravier, la délivrance d’un nouveau bail d’abri sommaire, de villégiature privée et commerciale et de camp de piégeage et l’aménagement d’un terrain de camping est interdit. 
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Les aires protégées de refuges biologiques projetés (Québec).

Les projets de refuges biologiques projetés sont des aires en attente d’une reconnaissance légale. Tous ces territoires qui ont été initialement délimités pour la création des refuges biologiques n’ont pas été immédiatement désignés en fonction des dispositions de la Loi sur l’aménagement durable du territoire forestier, car un certain nombre de territoires comportaient des contraintes relatives à leur désignation légale, même s’ils avaient été intégrés dans la planification de l’industrie forestière. La présence de titres miniers actifs, ou d’un potentiel reconnu en matière de développement minier ou énergétique, en constitue les principales contraintes.
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Les aires protégées des sites de refuge d'oiseaux migrateurs ROM (Ottawa).

Au Canada, on compte 92 ROM (Refuges d’Oiseaux Migrateurs), qui comprennent presque 115000 km² d'habitat procurant ainsi un refuge sécuritaire pour les oiseaux migrateurs autant dans les milieux terrestre que marin. Le Service Canadien de la Faune d'Environnement Canada est l'organisme responsable des refuges d'oiseaux migrateurs, bien qu'ils puissent être situés sur des terres fédérales, provinciales ou privées. Au Québec, il y a 28 ROM qui occupent une superficie de 577,80 km². La grande majorité des sites des aires protégées des ROM ont été localisés en priorités dans le couloir migratoire du fleuve St-Laurent, de l’estuaire du golfe jusqu’aux îles de la Madeleine, mais il y a aussi a ceux du lac Champlain (Philipsburg), de la rivière Des-Outaouais (Carillon) et de la baie James (Waskaganish).
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Les aires protégées de refuges fauniques (Québec).

Les réserves fauniques sont des territoires publics de chasse et pêche vouées à la conservation, à la mise en valeur et à l’utilisation de la faune ainsi que, accessoirement, à la pratique d’activités récréatives. Il y a présentement 21 réserves fauniques au Québec couvrant un territoire de 66 886 km² et 524 km de rivières dédiés pour la pêche du saumon de Atlantique. Elles sont toutes administrées par la SÉPAQ (Société des Établissements de Plein-Air du Québec) à l'exception des réserves fauniques de Duchénier, de Dunière et celles situées sur les rivières migratoires du saumons Atlantique qui sont gérées par des organismes du milieu (ZEC - Zones d'Exploitation Contrôlées).
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Les aires de réserves aquatiques (Québec).

Les réserves aquatiques sont des aires axées sur la protection de la biodiversité des milieux aquatiques situées en eaux douces ainsi que les territoires qui les entourent. Il existe deux réserves aquatiques au Québec. Une est situé en Gaspésie, à l’embouchure de la rivière Bonaventure dans la partie amont de l’estuaire. Une autre est située dans la région du Fjord-Saguenay à la rivière Ste-Marguerite entre les partie dans les municipalités de St-Fulgence et de Ste-Rose-du-Nord. Elle a une superficie de 321,4 km².
reserve-aquatique-projetee.pdf


Les aires de réserves aquatiques projetées (Québec).

Le gouvernement du Québec prévoit augmenter le nombre de réserves aquatiques, présentement huit autres sont prévues soient les rivières de la Haute-Harricana (Jamésie - Eeyou Istchee), de l’Haricanna-Nord (Jamésie - Eeyou Istchee), de la Waswanipi (Jamésie - Eeyou Istchee), de la Croche (Haute-Mauricie), de la Kovik (Nunavik), de la Moisie (Côte-Nord), de la Dumoine (Outaouais), de l’Ashuapmushuan (Lac-St-Jean), de la Haute-Rouge (Hautes-Laurentides & Haut-Lanaudière) et de la Mistassibi (lac Au-Foin - Lac-St-Jean)
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Les aires protégées de réserves de biodiversitées (Québec).

Les aires protégées de réserves de biodiversitées ont été constituée dans le but de favoriser le maintien de la biodiversité en milieu terrestre et plus spécialement de la représentativité des différentes régions naturelles québécoise. Il y a 15 réserves de biodiversité disposant d'un statut permanent de protection. La principale différence avec les parcs nationaux est qu'il n'y a pas systématiquement d'aménagements ou d'implantation d'infrastructures de services ni d'activités récréatives ou éducatives d'organisées par le gouvernement. De plus, les activités de chasse et de piégeage, les occupations comme la villégiature ainsi que les activités récréatives telles la randonnée et la circulation en vélo, quad, motoneige ou bateaux-moteurs sont permises. Il s'agit d'aires protégées où, de façon générale, seules les activités industrielles d'exploitation des ressources naturelles sont interdites, alors que l'accès et la circulation y sont libres.
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Les aires de réserves de biodiversitées projetées (Québec).

Le MELCCFP (Ministère québécois de l'Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs) a mis en réserve plusieurs territoires pour la création de futures réserves de biodiversité. De façon générale, ce statut projeté est valide pour une durée de 4 ans. Certaines de ces réserves de biodiversité projetées protègent des territoires à l'étude en vue d'y créer des parc nationaux.
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Les aires protégées de réserve de parc nationaux (Québec).

Les parcs nationaux du Québec sont des aires protégées créées par le Québec dans le but de protéger des territoires représentatifs des régions naturelles de la province ou des sites à caractère exceptionnel tout en les rendant accessibles au public pour des fins d'éducation ou de récréations extensives. En date de janvier 2022, ont compte vingt-huit parcs nationaux qui protègent une superficie de 42 765,57 km², soit environ 2,6 % du territoire de la province. Ils sont pour la plupart administrés par la SÉPAQ (Société des Établissements de Plein-Air du Québec) à l'exception de quatre parcs administrés par parc Kativik (Nunavik) et d'un parc administrés conjointement par Parc-Canada (parc de la Gatineau).
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Les aires protégées de réserve de territoires aux fins d'aire protégée « RTFAP » (Québec).

Le statut des 32 RTFAP (Réserve de Territoires aux Fins d’Aire Protégée) permet la reconnaissance d’un territoire jusqu’à ce qu’un statut légal de protection lui soit attribué. Les modalités de gestion de ce type de statut respectent les standards internationaux d’une aire protégée. Les RTFAP peuvent donc être inscrites au registre des aires protégées du Québec. La protection des territoires désignés à titre de RTFAP en milieu terrestre et d’eau douce est assurée par le MELCCFP (Ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les Changements Climatiques de la Faune et des Parcs). Il prend des dispositions administratives et légales nécessaires à l’interdiction, sur l’ensemble de ces territoires, de toute activité d’exploitation des ressources naturelles (minières, énergétiques et forestières) jusqu’à ce qu’un statut légal de protection leur soit attribué. L'objectif prioritaire de ces désignations est la conservation de la nature.
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Les aires de réserves écologiques (Québec).

Une réserve écologique, c'est avant tout un territoire conservé à l'état naturel: une île, un marécage, une tourbière, une forêt, un bassin hydrographique, etc. Tous les sites choisis présentent des caractéristiques écologiques distinctives. Dans certains cas, il s'agit d'un milieu où les sols, les dépôts de surface, les végétaux et la faune s'intègrent bien dans un ensemble représentatif des caractéristiques naturelles d'une région. Dans d'autres, le statut de réserve écologique permet de sauvegarder des espèces fauniques ou floristiques rares ou menacées, ou encore des sites exceptionnels. Dans tous les cas, on peut véritablement parler de musées naturels où la conservation, la connaissance scientifique et, quand c'est possible, l'éducation sont privilégiées.

Certaines réserves écologiques actuelles sauvegardent de façon intégrale et permanente des milieux naturels fragiles ou rares au Québec. La réserve écologique de Pointe-Heath, à l'île d'Anticosti, par exemple, protège une tourbière sur dépôts calcaires en milieu maritime. D'autres, comme la réserve écologique du Pin-Rigide et la réserve écologique du Micocoulier, en Montérégie, préservent des plantes et des animaux rares ou uniques au Québec. Plusieurs renferment des milieux représentatifs d'ensembles écologiques et de paysages telles les réserves écologiques du lac Malakisis, au Témiscamingue, de Tantaré, près de Québec, de l'Île Brion, aux îles De -a-Madeleine, et de Ristigouche, dans la vallée de la Matapédia. Enfin, une réserve écologique comme celle de l’île Aux-Sternes, dans le lac Saint-Pierre, permet de suivre la reconstitution de milieux naturels.
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Les aire de réserves écologiques projetées (Québec).

Les aire de réserve écologique projetée sont des projets mis en oeuvre pour ajouter et favoriser le maintien de la biodiversité en milieu terrestre et plus spécialement de la représentativité des différentes régions naturelles du Québec. Il y a trois projets de réserve écologiques projetées, celle de Matamec (Côte-Nord), celle de Paul-Provencher (Côte-Nord) et celle du ruisseau Clinchamp (Abitibi).
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Les aires protégées de réserve nationale de la faune RFN (Ottawa).

Les aires des RNF (Réserves Nationales de Fauniques) protègent plus de 3,5 millions d'hectares d'habitat, dont près de la moitié protègent des habitats marins au Canada. Il existe actuellement 57 réserves nationales de faune (certaines sont situées dans des régions dont les écosystèmes sont relativement intacts), qui abritent des habitats d’animaux ou de plantes importants au pays. Les réserves nationales de faune peuvent uniquement être désignées sur des terres appartenant au gouvernement fédéral canadien. Si les terres n'appartiennent pas au gouvernement fédéral, Environnement et Changement Climatique Canada peut conclure une entente avec le propriétaire sur l'établissement et la gestion conjointes d’une réserve de faune, laquelle ne pourrait pas être désignée en vertu du Règlement. À ce titre, des partenariats peuvent être forgés avec les provinces, des groupes autochtones et des propriétaires de terres privées dans le cadre d'initiatives comme le programme d'intendance de l'habitat pour les espèces en péril et le plan conjoint des habitats de l’Est, des habitats de la côte du Pacifique, des habitats intra-montagnard et des habitats des prairies.

Au Québec, il y a 8 RNF répartis sur le couloir des oiseaux migratoire du fleuve St-Laurent entre le lac St-François situé au nord-est de Dundee et la pointe De-l’Est dans la région du golfe St-Laurent, aux îles de la Madeleine.
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Les aires protégées de réserve naturelle reconnue (Québec).

Une aire protégée est une « zone protégée » au sens de la Convention des Nations-Unies sur la diversité biologique et de la manière que cette expression est interprétée par l’Union internationale pour la conservation de la nature dans les Lignes directrices pour l’application des catégories de gestion aux aires protégées (2008). Le gouvernement du Québec a adhéré aux principes et aux objectifs de la convention des Nations-Unies sur la diversité biologique et, considérant qu’il s’y soit déclaré lié depuis 1992, il adhère à ses principes et s’est fixé divers objectifs de sauvegarde de la biodiversité. L’équipe de la conservation volontaire de la direction des aires protégées travaille à reconnaître des réserves naturelles répondant à la définition d’une aire protégée. 

Pour que ces réserves soient reconnues comme telles, la conservation de la nature doit être prioritaire sur au moins 75 % de la surface terrestre ou aquatique de l’aire protégée. Par conséquent, jusqu’à 25 % du territoire pourrait être géré suivant d’autres objectifs, pourvu qu’ils soient compatibles avec le principal objectif de conservation de la nature de l’aire protégée. Les objectifs de l’entente de reconnaissance d’une réserve naturelle sont généralement destinés à préserver des espèces et leurs habitats, ce qui correspond à l’objectif premier d’une aire protégée de catégorie de gestion IV de l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature).
Critères d'admissibilité d'une réserve naturelle reconnue au ...Ministère de l'Environnementhttps://www.environnement.gouv.qc.ca › prive › c...
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Les aires protégées de territoire mis en réserve (Québec).

Au Québec, il y a 12 territoires qui ont été mis en réserve par le MELCCFP (Ministère québécois de l'Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs) pour éventuellement créé des aires protégée selon la Loi sur la conservation du patrimoine naturel (L.R.Q., c. C-61.01), article 5.  Les sites choisi sont l’Archipel de Sept-Îles (Côte-Nord), de Basilières-Kaël (Haut-Lanaudière), les buttes du lac Montjoie (Outaouais), le Chicobi (Abitibi), le domaine La-Vérendrye (Témiscamingue), le Mashkiki , la montagne Du-Diable (Hautes-Laurentides), le mont O'Brien (Outaouais), le mont Sainte-Marie (Outaouais), le Raimbault-Piton (Haut-Lanaudière), la rivière Péribonka (Lac-St-Jean) et les Sept-Chutes (Haut-Lanaudière). Ce sont des territoires qui représentent une superficie totale de 874,92 km².
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Les sites de projet d’aires protégées de paysage humanisé (Québec).

Un paysage humanisé vise la protection de la biodiversité d’un territoire habité, terrestre ou aquatique, dont le paysage et les composantes naturelles ont été façonnés, au fil du temps, par des activités humaines en harmonie avec la nature. Ce paysage et ces composantes présentent un caractère distinct dont la conservation dépend fortement de la poursuite des pratiques qui en sont à l’origine. Elle vise la conservation de la biodiversité, mais également celle des paysages et des valeurs culturelles bénéfiques à cette biodiversité. Ce statut cible majoritairement des terres privées. En 2021 l'ouest de l’île Bizard a obtenu le statut de paysage humanisé projeté par décret du gouvernement et arrêté ministériel.
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Les aires protégées d'utilisation durable (Québec).

Une aire protégée d’utilisation durable (catégorie VI de l’UICN) est un territoire voué à la protection et au maintien de la biodiversité et utilisé de manière à sauvegarder la naturalité de ses écosystèmes tout en assurant l’utilisation durable de ressources naturelles et de services qui contribuent au bien-être des communautés. Sa gestion s’appuie sur des systèmes de gestion patrimoniale qui favorisent la conservation de la biodiversité et une interaction équilibrée entre la nature et la culture.
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Les aires protégées de mise bas du caribou au sud du 52e parallèle (Québec).

Une aire protégée du territoire de mise bas du caribou est un territoire qui est situé sud du 52e parallèle qui sert à la reproduction, au rut ou à l’alimentation hivernale pour un troupeau d’au moins 50 caribous (rangifer tarandus silvius & rangifer tarandus montanus).
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Les aires protégées de mise bas du caribou au nord du 52e parallèle (Québec).

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Les aires protégées d'initiative autochtone (Québec).

Une aire protégée d’initiative autochtone est un statut qui permet aux communautés autochtones de proposer au MELCCFP (Ministère québécois de l'Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs) des projets de conservation dont les territoires pourront être désignés comme aire protégée par le gouvernement du Québec. Les nations autochtones sont représentées par la société Makivik, le gouvernement autochtone de la nation Crie ou un regroupement de tous les conseils de bande autochtone ou de tous les conseils de village autochtone nordique. Tous ces communautés sont quant à elles représentées par leur conseil de bande, par leur conseil de village nordique, par un regroupement de communautés ainsi représentées ou, en l’absence de tels conseils, par tout autre regroupement autochtone.
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Les aires protégées de milieu naturel désigné par un plan (Québec).

L’aire des milieux désignés par un plan sont des territoires naturels, de tenure privée ou publique, qui peuvent être désignés en vue d’assurer le maintien de la biodiversité et des fonctions écologiques qui leurs sont associées. La réalisation d’une activité dans un milieu naturel désigné est relatif à l’autorisation de l’autorité du MELCCFP (Ministère québécois de l'Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs).



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Bonjour !







Une aire faunique communautaire (AFC) est un plan d’eau public géré par une corporation sans but lucratif. Cette dernière y détient un bail de droits exclusifs de pêche ne visant pas des fins de pourvoirie.


Au Québec, il en existe quatre : 

L’aire faunique communautaire De la corporation de l’activité de pêche du Lac-St-Jean pour la région du lac St-Jean et de 16 rivières tributaires à proximités de ce lac (1 111,6 km2).

L’aire faunique communautaire Du réservoir Baskatong pour pêcher sur ce grand réservoir de la région de l’Outaouais (413 km2).

L’aire faunique communautaire Du réservoir Gouin pour la pêche sur le réservoir en Haute-Mauricie (1 789 km2).

L’aire faunique communautaire Du lac St-Pierre pour pêcher. Superficie en période d’étiage 480 km2 et en période de crue 660 km2. Elle est située sur une large partie du fleuve St-Laurent et sur 6 rivières tributaires avoisinantes. Elle couvre quatre régions du Québec; Lanaudière; la Mauricie; la Montérégie et celle Des-Bois-Francs.

Une aire faunique communautaire est un concept de mode de gestion des plans d’eau à mi-chemin entre une ZEC (Zone d’Exploitation Contrôlée) et celle de Pourvoirie À Droits Exclusifs (PADE). Comme une ZEC, elle est gérée par une corporation sans but lucratif et comme pour les PADE, des droits exclusifs de pêche sont demandés. Elle s’implante prioritairement sur des plans d’eau publics. Elle fait l’objet d’un bail de droits exclusifs de pêche à des fins communautaires entre le MELCCFP (Ministère québécois de l’Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs) et la corporation des aires fauniques communautaires. Cette dernière est donc soumise à des balises déterminées par le MELCCFP.

Le but est d’assurer un financement adéquat pour la remise en état des populations de poissons à intérêt sportif et de leurs habitats. Les utilisateurs participent à financer ces mesures en payant des autorisations de pêcher et les gens du milieu composent le conseil d’administration de l’organisation. Ce concept permet à long terme d’assurer la conservation et la mise en valeur des populations de poissons et leur accessibilité, garantissant du même coup une pêche de qualité.

Dans le but de gérer et de mettre en valeur le territoire de l’AFC, une autorisation de pêcher est demandée (droit de pêche spécifique). Cette contribution monétaire est directement réinvestie dans la mise en valeur par différents moyens : Le développement à la recherche et l’établissement des programmes de connaissance pour l’adoption des mesures de protection faunique, à l’embauche d’assistants à la protection de la faune sur le terrain (contrôle des droits de pêche, sensibilisation, limite le braconnage, etc.), l’aménagements des sites fauniques, quand nécessaire il y a.

Cette contribution des membres et usagés donne la possibilité de contribuer financièrement à des programmes d’ensemencement en compléments d’autres mesures de rétablissement de la population des poissons.


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