Oie des neiges

Une oie solitaire aujourd’hui au bord de la rivière… la première que je vois. Peut-être s’est-elle joint à un groupe de bernaches ? Est-il possible qu’elle ait fait un long parcours en solo ?

belle trouvaille

Belles photos Michel ! Merci de nous faire rêver de printemps imminents !

Elle n'est peut=être jamais partie. Est-ce que la Richelieu a gelée cet hiver?

Carouge;  il y a toujours de l’eau libre où le courant est plus important et ça gèle plus ou moins de bord en bord où c’est plus calme. Tu peux t’en douter, il y a eût très peu de glace cette année. Depuis toujours il y a un bon nombre de « résidents » l’hiver, majoritairement des colverts mais aussi pas mal de garrots à oeil d’or 
et grands harles. J’ai observé quelques bernaches en plein hiver mais jamais de « blanches »… avec ce qu’on vit en ce moment , il ne faut plus s’étonner de grand chose… j’ai vu un Urubu faire des cercles au-dessus de mon quartier hier…

Bonjour !  Michel.

Je crois que la présence des oies blanche au sud-ouest du Québec est très limité. C'est le facteur météo qui gère leurs présences en eaux libres. J'ai été voir sur le site The-Explorer pour voir leurs déplacements sur le couloir migrateur de la Côte-Est américaine. Il indique une faible présence d'oies à l'année dans les secteurs du lac St-François, lac St-Louis et d'autres petits bassin comme celui de Chambly de la rivière Richelieu. La plupart des oies blanche venues de la côte américaine se regroupe vers le 13 mars au sud-ouest du Québec, puis elles migrent vers la région de Montmagny en suivant le fleuve St-Laurent. Elles repartent vers la mi-mai vers le grand-nord à l’île de Baffin pour se reproduire. Elles font le trajet inverse vers le sud-ouest au début du mois de septembre en direction des États-Unis.









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