Autres cas d'antrhopozoostasis. Un dindon sauvage sème la terreur à Louiseville en Mauricie.

Bonjour !


28 février 2024









Les habitants de Louiseville sont aux prises avec une bête extrêmement féroce qui terrorise la population, un dindon sauvage très agressif. Ça a l’air qu’il ne faut pas déranger un dindon qui se promène librement dans la rue. Ce pauvre homme l’a appris à la dure.




Entrevue avec Yvon Deshaies, maire de Louiseville au sujet d’un dindon sauvage agressif qui serait au dire du maire de Louiseville de semer la terreur parmi les citoyens de la municipalité de Louiseville en Mauricie.




Le retour du dindon sauvage en Amérique du Nord est l'un des beaux succès de la conservation faunique au Québec. Mais cette renaissance pose la difficile question de la cohabitation avec les humains. Comment concilier les avantages économiques de la présence du dindon sauvage avec ceux de l'agriculture ?


L’incident de Louiseville a fait la nouvelle jusqu'en France :
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Bonjour !


29 février 2024


Le dindon sauvage qui s'en est pris à des citoyens de la municipalité de Louiseville en Mauricie mercredi a été abattu jeudi matin (29 février 2024) avec un engin de type lance-pierre mort. Le maire Yvon Deshaies a confirmé jeudi qu'un citoyen l'a tué. « Il a été tué à la fronde, avec deux billes d’acier », explique le maire. « Il n'a pas souffert », précise-t-il, selon lui. Les policiers de la Sûreté du Québec était présente pour s’assurer de la sécurité », ajoute le maire Yvon Deshaies.







Bien que la période de chasse locale aux dindons sauvages débute le 26 avril.

Le maire avait-il le droit de mettre fin à la vie de l’animal lui-même ? 

Les animaux sauvages et leur habitat sont protégés au Québec par la Loi sur la conservation et la mise en valeur de la faune. Elle indique assez clairement qu’une personne ne peut pas tuer ou capturer un animal qui l’attaque ou qui cause du dommage à ses biens « lorsqu’elle peut effaroucher cet animal ou l’empêcher de causer des dégâts », selon l’article 67 de la loi.

« Nul ne peut abattre ou capturer un animal qui cause du dommage aux biens ou qui doit être déplacé pour des fins d’intérêt public, sauf aux conditions déterminées par règlement du ministre », est-il également précisé dans cet article. Ainsi, la législation québécoise préconise de plutôt inciter l’animal à s’établir ailleurs plutôt que de choisir de l’exterminer ou de le capturer, a expliqué le regroupement CAA-Québec.

Petite exception à la loi, tous les animaux qui sont considérés comme de la vermines, c’est-à-dire les souris et les rats – ne sont pas protégés par cette réglementation. Il est donc possible de les exterminer.

D’après la loi québécoise, une personne qui ne respecte pas l’article 67 est passible d’une amende entre 1 000 $ et 5 000 $ pour une première infraction et de 3 000 $ à 15 000 $ pour toute récidive dans les cinq ans d’une condamnation similaire.

Le MELCCFP (Ministère québécois de l'Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs du Québec) a répondu par courriel en fin de journée jeudi, affirmant que le service de la protection de la faune du Québec a ouvert une enquête sur le dossier des signalements d’oiseau agressif de Louiseville. Le courriel indique que « les agents de protection de la faune assureront une présence dans le secteur et poursuivront leurs actions de prévention et de sensibilisation afin de rassurer la population de Louiseville ».


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Merci de beaux reportages