| | Northvolt dépose une demande d’autorisation au ministère de l'Environnement. Montérégie. | |
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Balbuzard890 Oiseau

Date d'inscription : 09/08/2019
 | Sujet: Northvolt dépose une demande d’autorisation au ministère de l'Environnement. Montérégie. 6/10/2023, 10:35 | |
| Bonjour ! 5-10-2023 Northvolt dépose une demande d’autorisation au ministère de l'Environnement Northvolt dépose une demande d’autorisation au ministère de l'Environnement du Québec pour l’intervention en milieux humides en vue de la préparation du site du projet de production de l’usine de batteries au lithium de les municipalités de McMasterville et Saint-Basile-le-Grand, en Montérégie. Sur le site visé, il y a effectivement 52 hectares de « milieux humides d'intérêt métropolitain» qui sont, en théorie, protégés par le Règlement de Contrôle Intérimaire ( RCI) de la Communauté métropolitaine de Montréal ( CMM). Ce règlement a été adopté l'an dernier, vient « i nterdire toute construction, tout ouvrage, tous travaux ou toute activité dans les milieux terrestres et humides d’intérêt métropolitain». Toutefois, la CMM nous indique « qu'à la suite de l’adoption de ce RCI, les villes de McMasterville et Saint-Basile-le-Grand ont accepté une délégation de pouvoir pour appliquer le règlement sur leur territoire respectif; ce sont donc ces municipalités qui sont responsables de l’application réglementaire et qui pourront évaluer si le projet y est conforme ou non ». Les maires de McMasterville et de Saint-Basile-le-Grand ont répété qu’ils étaient convaincus qu’une fois que le projet serait expliqué, la population allait y adhérer massivement. Environ 70 hectares de terres agricoles touchés par le projet ?La première phase du projet d'usine ne touchera pas les terres agricoles, mais le ministre de l'Économie, Pierre Fitzgibbon, a déjà prévenu que la deuxième phase allait nécessiter du « dézonage ». Nous avons eu accès aux numéros des 16 lots qui forment le site du projet. L'information est disponible sur le site web du ministère de l'Environnement. Au moins deux lots agricoles s'y trouvent, pour un total d'environ 70 hectares. Les sols de ces terres sont classés de niveau 2 sur 7 pour leur potentiel agricole; ce sont donc des terres de bonne qualité pour la production. Northvolt dit que ni la phase 1 ni la phase 2 ne touchent que les terres agricoles.À la suite de la publication de ce texte, Northvolt a fait savoir qu'elle ne touchera à aucune terre agricole pour aucune des phases de développement prévues pour le moment. Le porte-parole Laurent Therrien n'était pas en mesure d'expliquer pourquoi deux lots agricoles sont associés au projet sur le site gouvernemental ni pourquoi le ministre Fitzgibbon a évoqué du dézonage agricole. S'il faut changer la vocation des terres, la Commission de Protection du Territoire Agricole ( CPTAQ) devra donner son autorisation, sauf si le gouvernement émet un décret pour accélérer les choses. Radio-Canada révélait la semaine dernière que le gouvernement a modifié un règlement environnemental, plus tôt cette année, qui pourrait avoir pour effet d’éviter un examen du BAPE ( Bureau d’Audiences Publiques sur l’Environnement) à la Northvolt. Depuis, le ministre Fitzgibbon a déclaré que « des parties de l'opération » pourraient être examinées par le BAPE. Ce projet industriel financé par les gouvernements du Québec et du Canada sera construit sur un vaste terrain situé le long de la rivière Richelieu où se trouvent des zones boisées et des milieux humides. Il s’agit d’ailleurs d’un des rares milieux en friche de cette région. Selon des données fournies au journal Le Devoir par le Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les Changements Climatiques, de la Faune et des Parcs ( MELCCFP), on y a recensé de nombreuses espèces fauniques, dont au moins 13 sont déjà inscrites sur la liste des espèces menacés ou en péril, du gouvernement fédéral canadien. Les données recueillies indiquent ainsi que la nidification de l’hirondelle de rivage ( riparia riparia) sur ce terrain a été « confirmée ». Le ministère précise aussi que la nidification est « probable » pour l’hirondelle rustique ( hirundo rustica), le goglu des prés, la grive des bois et le petit blongios ( ixobrychus exilis), alors qu’elle est « possible » pour la paruline du Canada ( cardellina canadensis), en raison de la présence d’un « habitat propice ». Chacune de ces six espèces est inscrite comme étant « menacée », en vertu de la Loi sur les espèces en péril du Canada. Cela signifie qu’il existe une interdiction légale « d’endommager ou de détruire la résidence », par exemple le nid, de ces espèces. La même interdiction s’applique pour la tortue-molle à épines ( apalone spinifera) et la petite chauve-souris brune ( myotis lucifugus), deux espèces recensées sur le site qui sont « en voie de disparition », soit le statut le plus critique de la Loi sur les espèces en péril. Huit espèces font donc l’objet de mesures strictes de protection en vertu de cette loi fédérale. 142 espèces d’oiseaux Le déclin de toutes ces espèces est essentiellement dû à la destruction de leur habitat causée par le développement industriel, l’étalement urbain, la disparition des milieux humides, mais aussi celle des zones boisées, précise le directeur général de la SNAP ( Société pour la Nature et les Parcs du Québec), Alain Branchaud. En plus des espèces officiellement reconnues comme étant en péril, le MELCCFP indique que les inventaires et les observations dans le secteur ont permis de constater la présence de quatre espèces d’amphibiens et d’au moins 142 espèces d’oiseaux. Des espèces ont été recensées tout au long de l’année. Certaines nichent sur le site et d’autres utilisent les zones boisées ou les milieux humides dans le cadre de leurs migrations bisannuelle. Sols et eau souterraine contaminés Selon le système de gestion des terrains contaminés du ministère de l'Environnement québécois, les sols de l'ancienne usine d'explosifs de la compagnie Canadian-Industries-Limited ( CIL) à McMasterville, qui accueillera une partie du projet de Northvolt, renferment des polluants comme le cadmium, le chrome, des hydrocarbures et du plomb, entre autres. L'eau souterraine est aussi contaminée aux métaux. Des efforts de décontamination ont été faits depuis plusieurs années sur le site. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]1-11-2023 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien][Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | |
|  | | Balbuzard890 Oiseau

Date d'inscription : 09/08/2019
 | Sujet: Un secteur de l’usine de Northvolt du recyclage des batteries seras soumis à l’évaluation du BAPE. 10/11/2023, 09:09 | |
| Bonjour ! 10 novembre 2023 Un secteur de l’usine de Northvolt du recyclage des batteries seras soumis à l’évaluation du BAPE Cette autre usine de Northvolt prévois y faire le recyclage des batteries en fin de vie et seront utilisées pour en fabriquer de nouvelles devra être soumis à une étude du BAPE. L’entreprise suédoise Northvolt, qui construira une méga-usine en Montérégie au Québec, devra passer le test du Pape ( Bureau d’Audiences Publiques sur l’Environnement) pour recycler des matériaux de batteries, selon les information des journalistes de la société Radio-Canada. Les autres phases du projet ne seront pas assujetties à cet examen. Présentée comme le « plus important projet industriel de l’histoire du Québec » par le premier ministre québécois François Legault, la future usine de Northvolt sera surtout consacrée à la fabrication de cellules de batteries pour véhicules électriques. Comme rapporté par Radio-Canada en septembre, cette partie échappera à une évaluation du BAPE, grâce à un règlement modifié par Québec. Au cours des derniers jours, toutefois, le gouvernement a prévenu l’entreprise qu’une autre phase y sera soumise, soit celle associée au recyclage des matériaux de batteries. Sur le site d’une superficie équivalente à 318 terrains de football où elle s'installera, entre St-Basile-le-Grand et McMasterville, Northvolt aménagera un bâtiment dans lequel elle récupérera les matières premières des batteries en fin de vie, notamment du lithium, du cobalt, du nickel et du manganèse, qui seront utilisées pour en fabriquer de nouvelles. Cette activité pourrait générer plus de 50 000 tonnes de produits chimiques par année, ce qui est au-delà du seuil fixé par Québec. « Selon le projet qui nous a été présenté par l'entreprise elle-même, on excède ce déclencheur-là » explique le ministre de l’Environnement Benoit Charette. « C’est ce qui nous permet, pour la phase de recyclage des batteries, de déclencher la procédure environnementale du BAPE ». L’organisme gouvernemental indépendant pourra ainsi examiner les impacts environnementaux de cette phase du projet. Il pourrait tenir des consultations publiques, au cours desquelles la population et des experts seraient invités à se prononcer, mais surtout, il sera attendu qu’il produise un rapport. Le BAPE ne peut pas autoriser ou refuser un projet. Il transmet plutôt des recommandations au gouvernement qui doit ensuite trancher. « J’ai eu plusieurs rapports de BAPE au cours des dernières années et, souvent, ce sont des recommandations d'améliorations », précise Benoit Charette. « C’est plutôt rare que le BAPE dise un non catégorique à un projet ». La procédure d’évaluation environnementale qui s’enclenchera dans les prochaines années peut durer jusqu’à 18 mois, mais tout indique qu’elle ne retardera pas l’entrée en production de l’usine de Northvolt, attendue en 2026. Dans une première phase, l’entreprise suédoise se consacrera à la fabrication de cathodes. Il est attendu qu’elle puisse en produire jusqu’à 56 000 tonnes annuellement, alors que le seuil de production pour déclencher un examen du BAPE a été fixé à 60 000 tonnes pour cette catégorie de matériaux. « On ne veut pas déclencher un BAPE lorsque les critères ne l'exigent pas », tranche le ministre de l’Environnement. Dans les faits, la loi lui aurait permis de le faire, mais il préfère s’en tenir à la réglementation en vigueur. « C’est un pouvoir qui existe depuis plusieurs années. Il n’y a aucun ministre de l'Environnement qui s'en est prévalu, et je ne souhaite pas être le premier pour une raison bien simple », dit-il. « C'est important pour les promoteurs, mais également pour les citoyens, de connaître les critères de déclenchement d'un BAPE. Donc, si à tout moment on utilisait un pouvoir discrétionnaire, il n’y aurait plus de référence ». «Ce n'est pas parce qu'il n'y a pas de BAPE que l'entreprise n'a pas d'obligation », ajoute-t-il. « Il y a plusieurs certificats d'autorisation qui doivent être obtenus par l'entreprise elle-même ». Le gouvernement du Québec organisera d’ailleurs deux nouvelles séances d’information publiques aux municipalités de Saint-Basile-le-Grand et de McMasterville dans les prochaines semaines, elles s’ajoutent à ceux déjà tenues par l’entreprise Northvolt, pour répondre aux questions des citoyens. Les dates auxquelles elles auront lieu n’ont pas encore été déterminées à ce jour. Sébastien Desrosiers, journaliste pour la Société Radio-Canada. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien][Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | |
|  | | Balbuzard890 Oiseau

Date d'inscription : 09/08/2019
 | Sujet: Des scientifiques inquiets du manque de transparence du projet de construction Nothvolt. 15/11/2023, 14:06 | |
| Bonjour ! 15 novembre 2023 Des scientifiques inquiets du manque de transparence du projet de construction Nothvolt. Des scientifiques, spécialistes de la recherche en biodiversité et des experts du climat sont inquiets du manque d’informations, de la transparence et du manque de rigueur scientifique qui entoure le projet de construction de l’usine Northvolt en Montérégie. Ces scientifiques ont enregistrer une pétition et demandent au gouvernement du Québec de prendre le temps nécessaire pour considérer sérieusement les répercussions sur la biodiversité de projets comme Northvolt, et de favoriser la participation de la communauté scientifique, de la société civile et de la population aux discussions. Sans entrer dans le débat de l’éventuelle solution climatique de l’électrification des voitures, il est louable de vouloir agir pour le climat. Toutefois, l’action climatique ne doit pas se faire aux dépens de la vie qui nous entoure. Or, comme l’illustre le projet Northvolt sans études complètes du BAPE, on assiste à nouveau à du business « as usual » où l’enjeu crucial de la protection de la biodiversité passe en deuxième, voire en troisième plan, derrière l’économie et le climat. La biodiversité est bien plus qu’une simple collection d’espèces animales et végétales : elle est le tissu vivant qui maintient l’équilibre de notre planète. Elle devrait être au cœur de nos préoccupations, au nom de notre bien-être, de notre santé et de celle de l’environnement. Force est de constater que moins d’un an après la COP15 à Montréal, l’effondrement de la biodiversité ne semble toujours pas être un enjeu majeur pour le gouvernement provincial. En effet, le site choisi pour le projet Northvolt est précieux pour la biodiversité : en plus d’abriter une riche diversité, il sert à la nidification et à la migration de 142 espèces d’oiseaux et assure le déplacement des espèces en favorisant la connectivité entre les îlots de nature de la région. S’il y a destruction du milieu humide, Northvolt assure qu’il y aura compensation pour les dommages engendrés sur la biodiversité sous forme pécuniaire ou par la création de nouveaux milieux humides. Si la première solution est loin d’offrir une réelle compensation pour la biodiversité, la seconde est insuffisamment précise pour en évaluer les conséquences pour la biodiversité locale. Par exemple, nous nous demandons comment, concrètement, Northvolt va créer de nouveaux milieux : à quel(s) endroit(s) ? Quand ? Et surtout, comme les milieux humides renferment différents types d’habitats, spécifiques à différentes espèces, à quel(s) type(s) d’habitat(s) peut-on s’attendre ? L’empressement avec lequel un projet d’aussi grande envergure est mené, couplé au manque d’informations communiquées au public, entrave la capacité de la communauté scientifique, notamment universitaire, d’analyser les conséquences du projet pour la biodiversité et de proposer d’éventuelles solutions tant qu’il est encore temps. Ainsi, nous regrettons que ni un plan d’action concret pour la compensation ni la liste des espèces identifiées sur le site convoité ne soient divulgués. Nous nous demandons également si d’autres sites ont été envisagés, moins sensibles pour la biodiversité. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Signataires de la pétition : [url=https://divers.lpcdn.ca/redact/lapresse/dialogue/Northvolt-Lettre ouverte.pdf] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Vanessa Di Maurizio, étudiante au doctorat en biologie, Université de Sherbrooke.Coralie Beaumont, étudiante au doctorat en droit et codirection en biologie, Université de Sherbrooke. Clara Casabona Amat, étudiante au doctorat en biologie, Université de Sherbrooke.Varina Crisfield, étudiante au doctorat en biologie, Université de Sherbrooke. Gabriel Boilard, coordonnateur de laboratoire en biologie, Université de Sherbrooke.Guillaume Blanchet, professeur adjoint, Département de biologie, Université de Sherbrooke. Kim Gauthier Schampaert, professionnelle de recherche en écologie, Université de Sherbrooke. Marco Festa-Bianchet, Directeur, Département de biologie, Université de Sherbrooke.Lydie Veilleux, professionnelle de recherche en écologie, Université de Sherbrooke. Patrice Bourgault, enseignant en écologie, Université de Sherbrooke. Jacob Beauregard, étudiante à la maîtrise en biologie, Université de Sherbrooke. Allen Bush-Beaupré, professionnel de recherche en écologie, Université de Sherbrooke.Gabriel Bergeron, étudiant au doctorat en biologie, Université Laval. Camille Lévesque, étudiante à la maîtrise en biologie, Université de Sherbrooke.Emmanuelle Marchand, étudiante à la maîtrise en biologie, Université de Sherbrooke.Robert Bradley, Professeur titulaire, Département de biologie, Université de Sherbrooke.Davia Yahia, étudiante à la maîtrise en biologie, UQAM. Vanessa Poirier, étudiante au doctorat en biologie, UQAM. Véronique Gravel, technicienne en écologie, Université de Sherbrooke. Aymeric Oliveira-Xavier, étudiant au doctorat en biologie, Université de Sherbrooke.Matthew Barbour, professeur adjoint, Département de biologie, Université de Sherbrooke. Francis Banville, étudiant au doctorat en sciences biologiques, Université de Montréal.Alain Paquette, professeur, département des sciences biologiques, UQAM. Vincent Bellavance, professionnel de recherche en biologie, Université Laval. Thierry Grandmont, étudiant au doctorat en biologie, Université Laval. Laura Dénommée Patriganni, chargée de cours à forfait, Département de biologie, Université de Sherbrooke. Justine Le Vaillant, post-doctorante en biologie, anciennement au Département de biologie, Université de Sherbrooke. Emma Bacon, étudiante à la maîtrise en biologie, Université Concordia. Dominique Fauteux, professeur associé, Département de biologie, Université Laval.Sarah Tardif, étudiante au doctorat en biologie, UQAM. Maria Faticov, post-doctorante en biologie, Département de biologie, Université de Sherbrooke. Isabelle Laforest-Lapointe, professeure adjointe, Département de biologie, Université de Sherbrooke. Mégane Déziel, étudiante au doctorat en biologie, UQAM. Laurie Boulerice, étudiante à la maîtrise en biologie, Université de Sherbrooke. Victor Cameron, chargé de cours, Département de biologie, Université de Sherbrooke.François Briau, étudiant à la maîtrise en biologie, Université de Sherbrooke. Sabine St-Jean, étudiante à la maîtrise en biologie, Université de Sherbrooke. Alison Munson, professeur associé, Dép Sciences du bois et de la forêt, Université Laval.Charlotte Langlois, étudiante à la maîtrise en biologie, UQAM.Dominique Gravel, professeur titulaire, Département de biologie, Université de Sherbrooke. Pierre Legagneux, professeur, Département de biologie, Université Laval. Maxime Clenet, post-doctorant, Département de biologie, Université de Sherbrooke.Marie-Pierre Varin, professionnelle de recherche, Département de biologie, Université de Sherbrooke.Marc-André Villard, professeur associé, Département de biologie, chimie et géographie, UQAR. Matthieu Weiss-Blais, étudiant à la maîtrise en biologie, Université Laval. Daniel Kneeshaw, professeur, Département des sciences biologiques, UQAM.Dominique Tardif, biologiste et agente de recherche, Département des sciences biologiques, UQAM.Natacha Jetha, professionnelle de recherche, Département des sciences biologiques, UQAM. Jean-Michel Brunet, étudiant à la maîtrise en biologie, UQAM. Marc J. Mazerolle, professeur agrégé, Département des sciences du bois et de la forêt, Université Laval.Kim Couture, étudiante à la maîtrise en sciences de l’environnement, UQAM. Jessica Bao, étudiante à la maîtrise en biologie, UQAR. Jeanne Clermont, stagiaire postdoctorale, Département de Biologie, Université de Sherbrooke. Kim Ménard, étudiant. ex à la maîtrise en biologie, UL. Jacob Caron Carrier, Chargé de cours en biologie, UQAR. Lazare Berthelot, étudiant à la maîtrise en biologie, UQAR. Wendy King, coordonnatrice de laboratoire et chargée de cours en biologie, Université de Sherbrooke. Marie-Pier Brochu, étudiante au doctorat en sciences de l’eau, Centre-Eau-Terre-Environnement, Institut national de la recherche scientifique. Sophie Lavoie, étudiante à la maîtrise en biologie, UQAR. Anne-Sophie Caron, professionnelle de recherche, UQAT-Insectarium, et enseignante au Collège Dawson. David Roy, Directeur général, Ateliers pour la biodiversité. Patricia Denis, professionnelle de recherche, Université Laval. William Parenteau, professionnel en conservation et restauration de milieux naturels, Nature-Action-Québec. Camille Gaudreau-Rousseau, étudiante au doctorat en biologie, Université Laval. Yann Surget-Groba, professeur, Institut des Sciences de la Forêt Tempérée, Université du Québec en Outaouais. Dieu Merci Domboli, professionnel de recherche, département de géographie, Université Laval. Claire-Cécile Juhasz, post-doctorante en biologie, Département de biologie, Université de Sherbrooke. Emmanuelle Barreau, étudiante au doctorat en écologie comportementale, Université du Québec en Outaouais. Simon Morvan, chercheur postdoctoral, Institut National de la Recherche Scientifique du centre Armand-Frappier, Santé & Biotechnologie. Émilie Desjardins, étudiante au doctorat en biologie, UQAR. Faby-Anne Gagné-Mimeault, étudiante au doctorat en économie écologique et agro-écosystèmes, Université du Québec en Outaouais.Benoit Lapointe, coordonnateur de laboratoire en écologie, Université de Sherbrooke.Monique Poulin, professeure titulaire, Université Laval. Pierre Legendre, professeur titulaire, Département de sciences biologiques, Université de Montréal.Jacques Brodeur, professeur, Département de sciences biologiques, Université de Montréal. Théo GICQUEL de MENOU étudiant à la maîtrise en biologie, Université du Québec en Outaouais.Paul Savary, post-doctorant, Département de Biologie, Université Concordia. Étienne Yergeau, professeur titulaire, Institut national de la recherche scientifique.Vincent Poirier, professeur agrégé, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue.Laurence Turmel-Courchesne, professionnelle de recherche, Université Laval. Nadia Aubin-Horth, Professeure titulaire, Département de biologie, Université Laval.Eric Harvey, Professeur régulier, Sciences de l’Environnement, Université du Québec à Trois-Rivières. Marc Bélisle, Professeur titulaire, Département de biologie, Université de Sherbrooke.Timothée Poisot, Professeur agrégé, Département de Sciences Biologiques, Université de Montréal. Annie-Claude Malenfant, étudiante au BAC en biologie, UQAM. Guillaume Larocque, professionnel de recherche, Centre de la science de la biodiversité du Québec, Université McGill. Emmy L’Espérance, étudiante au doctorat en biologie, Institut national de la recherche scientifique, Centre Armand-Frappier, Santé Biotechnologie. Shan Kothari, post-doctorant en biologie, UQAM. Lytana Lécuyer, biologiste et étudiante à la maîtrise en biologie, UQAM. Alison Derry, professeure, département des sciences biologiques, UQAM. Jessica Fraser, étudiante au doctorat en sciences biologiques, Université de Montréal.Sandra Hamel, Professeure agrégée, Université Laval. Amélie Morin, biologiste et étudiante à la maîtrise en biologie végétale, Université de Laval.Benjamin Mercier, étudiant à la maîtrise en biologie, Université de Sherbrooke. Élise Filotas, professeure, Département Science et technologie, Université TÉLUQ.Vincent Beauregard, professionnel de recherche en biologie, Université de Sherbrooke.Philippe Gachon, Professeur régulier, département de géographie, Université du Québec à Montréal. Julie Turgeon, professeure agrégée, Département de biologie, Université Laval.Katherine Hébert, Post-doctorante, Département de biologie, McGill University. Mélanie Lapointe, chargée de cours, Département de biologie, McGill University.Étienne Léveillé-Bourret, professeur, département de sciences biologiques, Université de Montréal. Michael Paulauskas, étudiant à la maîtrise, Université Concordia. Claudie-Anne Langlois, étudiante à la maîtrise en biologie, département de biologie, Université de Sherbrooke. Joëlle Spooner, étudiante à la maîtrise en sciences forestières, Université Laval.Ludovic Landry-Ducharme, étudiant au doctorat en biologie, UQAR. Simon Joly, Directeur, Institut de recherche en biologie végétale. Rachel Demers, étudiante à la maîtrise en biologie, Université du Québec à Rimouski.Alejandro Di Luca, professeur agrégé, Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère, UQAM.Oliver Sonnentag, professeur agrégé, chaire de recherche en bio-géosciences atmosphériques en hautes latitudes, Département de géographie, Université de Montréal. Teodora Stan, étudiante à la maîtrise en Sciences de l’environnement, Université du Québec à Montréal.Cathy Duguay, biologiste et étudiante à la maîtrise en sciences géographiques, Département de géomatique, Université de Sherbrooke. Francesco S. R. Pausata, professeur, Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère, UQAM.Élise Bouchard, étudiante au doctorat en biologie, UQAM.Martin-Hugues St-Laurent, professeur titulaire en écologie animale, Université du Québec à Rimouski. Philippe Lucas-Picher, professeur, Département des sciences de la Terre et de l’atmosphère, UQAM.Louis Moisan, Étudiant au doctorat en biologie, Université du Québec à Rimouski.Annie Chaloux, professeure agrégée, École de politique appliquée, Université de Sherbrooke. Julie Talbot, Professeure agrégée, département de géographie, Université de Montréal.Raphaël proulx, Professeur titulaire en biologie de la conservation, Université du Québec à Trois-Rivières. Maëlle Colin, étudiante à la maîtrise à l’Université Laval. James King, professeur agrégé, département de géographie, Université de Montréal.Maxime Fraser Franco, Candidat au doctorat en biologie, Département des Sciences Biologiques, Université du Québec à Montréal. Philip Bertrand, PhD Biologie, Université du Québec à Rimouski. Corinne Maurice, Professeure Associée, Chaire de Recherche en Interactions Microbiennes intestinales, Université McGill. Emma Despland, Professeure titulaire, département de biologie, Université Concordia.Kim Bannon, Agente de recherche, Département des Sciences Biologiques, Université du Québec à Montréal. Francesca Sotelo, Étudiante à la maîtrise en Biologie, Université du Québec en Outaouais. Clément Hardy, Étudiant au doctorat en Biologie, Université du Québec à Montréal.Christian Messier, Professeur, Département des Sciences Biologiques, Université du Québec à Montréal.Matt Follett, Étudiant au doctorat en biologie, Université du Québec à Montréal.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] | |
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