Des courlis corlieu sur l'Ile Nue à Mingan

Bonjour, j'ai eu la chance de parcourir les quelques iles de l'archipel de Mingan en juillet 2014 pour étudier la flore de ces lieux. Les oiseaux étaient également au rendez-vous, notamment le magnifique macareux moine, mais aussi les courlis corlieu qui étaient bien présents sur les berges de certaines iles à mon grand étonnement car il paraît que cette espèce niche plutôt au nord et ne se rencontre que durant la migration. Daniel Fortin

Tu as eu beaucoup de chance Daniel! Wow tes photos sont magnifiques!
Le Macareux moine est mon espèce "mythique"... je rêve tellement d'en voir, un de ces jours... en attendant, une photo comme celle que tu poste me comble de bonheur! Qu'ils sont beaux et mignons... et ta photo est merveilleuse... Merci!!!!!

Très belles photos ! :10 sur 10un coup de :coeur432  pour la première ,moi aussi j aimerais bien en voir !

Tres belle observation pour la 1

Superbe observation Daniel :coeur432 pour la 1e merci

Une très belle série et merci du partage. :coeur432 pour la première

Papou

Superbe chance que vous avez de voir ces beaux oiseaux!
Merci de nous partager vos photos!
Bravo Daniel!

Passez de Joyeuses Fêtes !
:coeur432 :coeur432

Exotique. Merci du partage.

Très belles observations, moi aussi la première, bravo Daniel

Belle photos..Bravo Daniel 

très belle observation

Magnifique!

Ça me rappelle de beaux souvenirs... J'avais aussi eu l'occasion d'observer un courlis sur l'île nue pas loin des monolithes.

Bonjour à toutes et à tous, voir plusieurs courlis corlieu à Mingan au début de juillet et en revoir aux Grandes Bergeronnes une dizaine de jours plus tard semblent indiquer, me je peux me tromper, que nous avons affaire à de jeunes adultes qui n'ont pas niché au printemps dans la toundra. Début juillet n'est certainement pas la période de migration de l'espèce. Indéniablement, si je ne suis pas le seul à les avoir observé (référence Alouette) c'est peut-être que l'espèce occupe une aire de répartition beaucoup plus étendue que les guides d'identification ne le laissent supposer. Est-ce possible que cette espèce ait «profité» de la disparition du courlis esquimaux, une autre victime de la rapacité de l'espèce humaine, pour occuper son aire de répartition ? Des avis sur cette question !!!

Daniel Fortin